Le syndicat tunisien des médecins libéraux a condamné les mesures “unilatérales”, de la loi de finances 2019, sans aucune consultation ni considération du statut du personnel médical qui est chaque année surpris par de nouvelles procédures répétées dans le sens d'exercer la pression à leur encontre. Dans un communiqué publié mardi après l'approbation par l'Assemblée des représentants du peuple de la loi de finances de 2019, le syndicat a annoncé son refus de l'imposition d'un nouveau taux égal à 1% du nombre de transactions effectuées par les médecins privés et les services de santé en général dans le secteur privé, comme indiqué au chapitre 55 de la loi de finances 2019. Le communiqué souligne le refus de porter atteinte au secret professionnel et aux principes et déontologie des professions libérales et leur particularisme.