À la suite de ce qui a été rapporté dans les médias au sujet de l'implication de deux agents à l'hôpital Razi soupçonnés d'arnaque. Selon le reportage, ils auraient prétendu avoir la capacité d'interférer au profit d'une citoyenne afin de fournir une place pour l'admission de son fils au service de Psychiatrie judiciaire en échange d'une somme d'argent. Le ministère de la Santé souhaite apporter les clarifications suivantes : * L'admission des patients au service de psychiatrie judiciaire est basée sur une liste nominale en coordination entre plusieurs parties: le chef du service de psychiatrie judiciaire, l'unité de santé mentale de la sous-administration pour la gestion des patients et l'administration générale des prisons et de la réforme (l'unité de transport des détenus) en tenant compte de l'ancienneté de la date de la décision d'admission obligatoire délivrée par les autorités judiciaires. L'Administration générale des prisons et de la réforme est informée de la capacité du service de psychiatrie judiciaire deux fois par semaine, si une place est disponible ou pas. * Les deux personnes qui sont apparues dans le programme n'appartiennent pas au service de psychiatrie judiciaire et n'ont aucune connaissance des procédures légales et de disposition relatives à l'hébergement des patients dans ce service et ne peuvent pas être au courant d'éventuelles vacances. * Jusqu'à présent, les services d'inspection des hôpitaux n'ont pas confirmé que les aides avaient été contactées par une partie du service de psychiatrie légale. Par ailleurs, le ministère de la Santé a ouvert une recherche administrative en la matière afin de préserver les droits de toutes les parties et de prendre les mesures légales nécessaires.