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Analyse empirique, options et stratégies

La désinflation et la politique monétaire plus adéquate sont des facteurs qui soutiennent les hypothèses d'une anticipation de baisse des taux, qui ne pourra remonter moins vite que les réajustements futurs des soldes budgétaires, sans négliger pour autant un encadrement de la liquidité.
Cette situation aura certainement des conséquences directes sur les rémunérations des produits financiers et monétaires.
Associé à une aversion aux risques, le comportement des épargnants se profile vers des placements sécurisés, et par conséquent à l'achat des obligations d'Etat ou à la souscription dans des OPCVM qui remploient des actifs essentiellement sous la forme obligataire (BTA, BTCT et emprunt). Quant aux obligations privées, essentiellement non financières, elles doivent offrir, eu égard au risque plus élevé que le souverain, des rendements plus élevés. Les écarts de ces rendements par rapport aux papiers de l'Etat doivent se situer normalement sur 5 à 10 ans à +25% (prime de risque oblige compte tenu de la maturité de l'emprunt et des défauts ou retard de paiement) même si la détention d'obligation privée est privilégiée dans le processus de liquidation (constat que le défaut de paiement demeure faible en Tunisie).
Ainsi, la dette publique et privée devra rester sous pression dans les mois qui viennent. Les épargnants devront préférer limiter leurs risques par rapport à une classe d'actifs où le taux des obligations reste modéré.
La Tunisie bénéficie d'une économie saine, même si le ralentissement de l'activité est plausible, la croissance demeure honorable, et ce malgré la décroissance de la valeur de exportations.
Le Trésor public tunisien a déjà arrêté son calendrier pour 2009, dans lequel il sera procédé au cours de cette année à l'émission des bons de trésor (BTA, BTCT, BTZC) pour un montant global de 1.900 MDT. Ce montant sera levé -si les conditions du marché le permettent- dans la limite de 70% (1.350 MDT) sous forme de bons de trésor à MLT et 30% (550 MDT) sous forme de bons de trésor à CT.
Dans ce contexte, où l'inflation maîtrisée associée à une détente fortement observée, l'épargne reste bien engagée. Le taux d'intérêt à LT, ceux des BTA 10 ans, par exemple est de 4,95%, environ 1,75% de plus que l'inflation actuelle, situation moins exceptionnelle que ces dernières années. Sachant que le rendement à 10 ans demeure supérieur uniquement de 1,95% au placement à CT.
Quant aux émetteurs privés, nous estimons que les établissements de crédits vont animer le marché à l'émission, compte tenu de nouvelles conditions de crédits habitat dont la durée est étalée à 25 ans, les ressources longues sont aussi nécessaires pour une bonne gestion actifs/passifs. De même, les entreprises qui souhaitent lever des capitaux sur le marché local vont s'activer vu la dégradation des conditions de financement à l'international.
Corroboré à des climats macroéconomiques, où une reprise rapide est, en effet, peu probable, l'investissement des entreprises risque de baisser pendant l'année 2009 (le taux d'utilisation des capacités sera au plus bas depuis 12 mois), et les marchés à l'export ne sont pas favorables (la reprise des exportations serait une bonne nouvelle). Toutefois, la consommation peut surprendre par sa rigueur et pourra refléter un comportement moins timoré qu'on pensait, surtout qu'elle est soutenue par les flottants des crédits à la consommation et par la baisse des prix.
L'immobilier, quant à lui, reste bien soutenu par les mécanismes de financement très fortement structuré basé sur des taux d'intérêt en ligne avec la capacité d'endettement et adossé généralement à une épargne préalable non négligeable.
Les actifs peu risqués restent le bon choix et le maintien d'une position de portefeuille défensive est plausible ; par ricochet, une plus grande diversification est attendue.
Quant au marché des actions, les cours devront globalement évoluer en harmonie avec les fondamentaux et essentiellement les croissances des profits.
Le yield (dividende/cours) se situe, pour plusieurs valeurs, supérieur au rendement des obligations sans risque. Ainsi, les acquisitions d'actions seront axées sur le choix d'une valeur par sa qualité intrinsèque et non pour l'indice global, puisqu'il est judicieux de s'orienter vers des valeurs sous-évaluées.
Au 31 décembre
2004
2005
2006
2007
2008
Nombre de sociétés cotées
44
45
48
51
50
Capitalisation boursière (MD)
3085
3840
5491
6527
8301
Performance du BVMT (%)
3,7
17,2
40
21
2
Performance du Tunindex (%)
6,53
21,3
44,3
12.14
10.65
Volume total des transactions (MD)
690
1 661
4 607*
1 743
4 130
Ainsi, sur la période 2004/2008, le rendement annuel réel moyen (corrigé de l'inflation) du marché des actions se situe à environ 15%, soit beaucoup plus que le rendement annuel moyen des obligations à LT, à peine 2%. La différence entre les deux taux, soit 13%, est la prime de risque
Ceci étant, le rapport cours/bénéfice et le rendement des dividendes doivent rester les critères absolus d'appréciation, et en le comparant bien sûr avec le taux d'intérêt.
Plus pragmatiquement, si l'objectif prioritaire demeure la dynamisation de l'épargne, les OPCVM (SICAV et FCP) constituent une vecteur privilégié, à condition, bien sûr, d'être informé quotidiennement du niveau de la valeur liquidative, trimestriellement, de la composition du portefeuille (publication assurée par le CMF dans son bulletin officiel) et annuellement lors des assemblées générales ordinaires
Décliné ou non dans une version d'épargne populaire, selon les OPCVM, il s'agit donc d'un très bon outil pour conforter ses lendemains, un levier financier pour les banques (placement monétaire), les entreprises (billet de trésorerie et emprunt obligataire) et l'Etat (BTA, BTCT).
Nous précisons que malgré le net des taux affiché, l'ensemble des SICAV, actions comprises, continue de progresser, mais reflète la preuve que la sécurité a un coût en termes de rendement.

2004
2005
2006
2007
2008
OPCVM obligataires
17
18
20
24
30
Fonds gérés (MD)
1909
2203
2 468
2 754
3 221
Rendement moyen
4,47
4,29
4,19
4.07
4.08
pondéré (%)





OPCVM mixtes
16
16
24
33
46
Fonds gérés (MD)
90
149
195
271
408
Rendement moyen (%)
5,12
6,69
15,16
4.02
5.18
Ainsi, le nombre d'OPCVM a été étoffé durant l'année 2008 de 3 SICAV Obligataires, 3 FCP obligataires et 13 FCP mixtes.
Dans ces supports préfigure une classification des OPCVM, c'est-à-dire des SICAV et de Fonds communs de placements «FCP», ce qui permet aux souscripteurs de mieux connaître le produit qui le compose et les objectifs de gestion.
Côté SICAV mixtes, elles ont encore du chemin à parcourir avant d'être sollicitées par les Tunisiens. Toutes catégories confondues, les SICAV actions ne pèsent que 11% de l'actif total.
Il faut, à ce niveau, dépasser la simple vente des produits, mais plutôt exercer pleinement la gestion collective avec ses différents préceptes.
Nul doute qu'après les vagues successives des introductions en Bourse, elles ont gagné du terrain. Reste à préciser que l'éventail des performances est très large car le choix des titres fait la différence.
Notons que lors des OPV et OPS, les émetteurs ont retenu une tranche institutionnelle spécifiques «OPCVM», auparavant la demande d'actions formulée par les OPCVM était intégrée dans les tranches réservées aux particuliers et se trouvait ainsi quasiment exclue de l'opération par le jeu de coefficient de réduction.
Depuis, les investisseurs institutionnels bénéficient d'un nombre de titres significatif qui permet de sauvegarder un équilibre essentiel pour le marché.
En filigrane, et en présence d'un éventail de taux et de catégories de placement, les OPCVM peuvent remployer leur actif en :
-80% en valeurs mobilières dont minimum 50% représente des valeurs mobilières admises à la Cote, des BTA, des emprunts obligataires, des actions ou parts d'OPC (toutefois, cette part d'actif ne doit pas excéder 80%) et maximum 30% sous forme de BTCT, certificats de dépôt à plus d'un an, billet de trésorerie à plus d'un an.
-20% des valeurs mobilières représentant des titres de créances à court terme émis par l'Etat sous forme de BTCT ou par la BCT sous forme de certificat de dépôt à moins d'un an ou des billets de trésorerie à moins d'un an. Toutefois, les dépôts à terme, les dépôts à vue et les disponibilités ne doivent pas excéder les 20%.
A ce niveau, les OPCVM constituent un socle pour assurer un minimum de rentabilité et de stabilité à partir de laquelle les gestionnaires peuvent exercer une gestion directe plus fine.
Nonobstant, et pour compléter cette gamme, il serait judicieux la création d'une SICAV monétaire qui pourrait constituer une alternative de placement pour beaucoup de souscripteurs et surtout les institutionnels. En effet, la volatilité importante des actifs des SICAV pousse à la création des SICAV MONETAIRES, avec une particularité : l'acquisition des valeurs mobilières à des maturités courtes (moins des 2 ans).
Quant à la valorisation des SICAV, il s'est dégagé un consensus sur la nécessité de l'appliquer à la courbe des taux (actuellement en phase de test) pour endiguer les freins au développement des placements à long et moyen et terme surtout chez les investisseurs institutionnels.
Cette nouvelle dynamique serait idéale pour animer le marché secondaire, créer de la liquidité et afficher des prix de marché significatifs.
En effet, pluralité ne rime jamais avec simplicité, or en matière d'épargne, les solutions les plus simples sont souvent les plus sûres. L'idéal est d'aboutir à ce que la gestion de taux des particuliers soit systématiquement réalisée par les SICAV et FCP ; ce n'est pas le cas des actions.
Dans telles conditions, la gestion collective peut présenter une alternative intéressante et permettra d'augmenter la liquidité globale du marché obligataire et des actions ainsi que celles des établissements de crédits.
Quant au placement monétaire, ils sont disponibles dans des conditions bien déterminées et citées par la circulaire n° 2005-09 aux établissements de crédit, aux personnes morales de droit public ou de droit privé et aux personnes physiques.
Toutefois, les dépôts de la clientèle représentent la principale ressource des banques. La croissance des dépôts du secteur est conditionnée par l'offre des taux de rémunération attrayants pour les comptes d'épargne et des taux de rendement concurrentiels pour les autres produits des banques.
Pour mieux apprécier le rôle joué par des banques dans la collecte de l'épargne, il faut se focaliser sur l'évolution de la répartition des dépôts du secteur bancaire sur les dernières années (de 2005 à 2008 en millions de dinars).


2005 2006 2007 2008
Dépôts en MDT 19 559 21 833 24 228 28 003*
* chiffres provisoires.
Ces dépôts sont répartis comme suit :


2005 2006 2007 2008
Dépôts à vue 26% 27% 27.50% 25 %
Dépôts à terme 29% 29.50% 31.50% 33%
Comptes d'épargne 34% 33.00% 27.00% 31%
A partir de 2007, les comptes d'épargne et les comptes à vue ont cédé la place aux dépôts à terme, ce qui vient confirmer l'idée que l'investisseur cherche un rendement supérieur sur une période plus longue, tendance confirmée tout au long de 2008 et qui se poursuivra certainement en 2009.
Cette migration est bénéfique aux épargnants qui profiteront d'une différence de taux de 1% pour les placements supérieurs à 24 mois. Par ailleurs, ces placements sont rémunérés à TMM+0,5, tandis que les placements à moins de 24 mois sont rémunérés à TMM-0,5. Les banques profiteront d'une liquidité plus importante eu égard au taux de la réserve obligatoire qui s'établit à 0% pour les placements à plus de 24 mois (circulaire BCT 2008-24). Ainsi, la restructuration des dépôts selon les durées est profitable, ce qui génère une pérennité des avoirs et un équilibre de leurs structures.
A la discrétion de l'épargnant de choisir ceux qui correspondent le mieux à ses objectifs et aux horizons d'investissement. Sans oublier, bien sûr, que gérer son patrimoine, c'est diversifier et trouver un juste équilibre entre l'épargne plus ou moins liquide, les placements sans souci et ceux plus risqués, mais souvent plus rémunérateurs.
Le couple rendement/risque et rendement/liquidité reste en première ligne puisqu'il faut laisser comme on le dit «le temps au temps». Sans oublier le rôle joué par la Poste tunisienne dans la collecte de l'épargne qui totalise 4.320 Mdtu au 31/12/2008 (2.320 Mdtu en compte d'épargne et 2.000 Mdtu en compte postal), qui s'est vu autorisée pour la commercialisation d'une SICAV obligataire pour enrichir son offre et prévenir les éventuels arbitrages.
L'épargne développée selon les principes de la rentabilité, de la sécurité et de la liquidité présente plusieurs atouts très simples :
-L'assurance de la diversification et la neutralisation des risques,
-Une gestion de portefeuille de l'épargne face à la complexité croissante des marchés financiers,
-Une grande souplesse d'utilisation et bonne disponibilité,
Une fiscalité avantageuse des valeurs mobilières et la possibilité d'investissement avec des montants modérés sur des marchés réputés trop techniques. Sans occulter que l'engouement pour le produit de taux se généralise : SICAV, FCP, conditions d'assurance retraite et vie, emprunts…..
Pour conclure, j'ai l'ultime conviction que le placement obligataire va connaître de beaux jours devant lui pour constituer le placement idéal. Certes, il ne représente à taux fixe qu'une rente sur une dette. Dans ces moments là, la priorité est à la liquidité et fiscalité.
La désinflation profiterait inéluctablement à tous les détenteurs d'obligations anciennes détenues jusqu'à leurs échéances, laissant ainsi jusqu'à 3,5% de marge brute.
Toutefois, il est indispensable, quand les données macroéconomiques se modifient, de repenser sa stratégie en conséquence.
A mon avis, le marché action va demeurer une forme de participation à une espérance de profit qu'il faut adosser à la volatilité de la physionomie et les fondamentaux.
En effet, ce marché alternerait régulièrement des années fastes et des années moins bonnes. En conséquence, les bonnes et les mauvaises performances s'annulent sur une longue période, le risque devient limité «la patience peut toujours être récompensée». Et que chacun a son degré de risque, il faut avoir une position d'adéquation avec le degré qu'on est en mesure d'en assumer totalement.
Pour leur part, les établissements de crédits disposent d'une diversité de produits de placement monétaires permettant aux réseaux d'agences de répondre aux différents besoins d'arbitrages de leurs clients déposants en leur proposant toutes les formes de produits à court, moyen et long terme. La classification de banques universelles leur permet aussi de commercialiser l'ensemble de la gamme d'épargne : Epargne classiques, OPCVM, dépôt à terme, épargne à objets : immobilier, études, retraite ......, banques/assurances, bourse, épargne projets etc.
Ainsi, le système financier demeure harmonieux et présente des gammes de placements vastes à des conditions aménagées et indexées sur le taux du marché monétaire et en prime la libération des taux de l'épargne sur livret.
Source: l'Economiste Maghrébin n°49-2009 du 25 mars 2009


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