L'incompréhension autour du rôle de la Commission tunisienne d'analyses financières (Ctaf), longtemps entretenue dans la sphère politique et les médias, gagne aujourd'hui la plus haute autorité de l'Etat. La remontrance est sans modération et (...)
« L'institution de la délégation de pouvoir suppose
qu'il existe dans l'humanité une portion de vertu et d'honneur
de nature à constituer un fondement raisonnable de la confiance » [1].
Le débat sur l'indépendance de la Banque Centrale de Tunisie (...)
« Quand une fois on a accueilli le mal chez soi,
il ne demande plus qu'on lui fasse confiance ».[1]
La crise politique que traverse la Tunisie prend une tournure inquiétante. L'actuel locataire de Carthage semble en effet décidé à mener à terme (...)
De nouvelles catastrophes financières en perspective.
Les chambres juridictionnelles mandatées dans le cadre de la justice transitionnelle pour traiter des prétendues exactions commises avant 2011 viennent de convoquer d'anciens hauts commis de (...)
Pour accéder au pouvoir politique et s'y maintenir le plus longtemps possible, il faut avoir la légitimité.
Selon Max Weber[1], il existe trois fondements de la légitimité[2]:
Tout d'abord, la légitimité historique ou de l'« éternel hier », (...)
Secrétaire général du CIPED *
La loi sur la réconciliation administrative votée récemment par l'ARP, fait l'objet d'un recours en inconstitutionnalité devant l'Instance Provisoire de Contrôle de la Constitutionnalité des Projets de Lois (« (...)
I. A l'occasion du débat actuel sur le projet de loi relatif à la réconciliation économique, certains ont évoqué l'article 42 du Code pénal.
Jusqu'ici, le CPED a fait valoir une approche plutôt économique de la question, compte tenu d'abord, du cout (...)
« Rendre manifeste ce qui est caché (…) : en cela seul consiste l'œuvre des sages ». (1)
Lors d'une session plénière à l'Assemblée des représentants du peuple (« ARP ») tenue le mardi 7 juin 2016, le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, a (...)