Ce qui s'est passé dans les pays du Printemps Arabe (Tunisie, Egypte, Libye) sont des coups d'Etat orchestrés et non pas des Révolutions. Il y a des agendas étrangers derrière le soulèvement en Tunisie. C'est ce qu'a affirmé le chercheur en sciences politiques et auteur du livre « Win machy bina sidi ? », Sami Jallouli. Lors de son passage lundi 10 juin 2013 sur Shems FM, M. Jallouli a refusé de communiquer les noms : « Des organisations telles que "Freedom House" et la Fondation arabe pour la démocratie, qui a été dirigée par Mohsen Marzouk, était derrière ce soulèvement ». Le chercheur a, en outre, indiqué que ces organisations avaient préparé le terrain des soulèvements à travers des programmes de formation aux Etats-Unis, adressés aux jeunes sur la façon de gérer les coups d'Etat sur le terrain.