Ahmed Seddik, dirigeant du Front populaire, a affirmé, lundi 4 novembre 2013, que l'opposition n'est pas prête à accepter un autre dépassement des dates indiquées dans la feuille de route du Quartet. Dans une déclaration accordée à Shems FM, Ahmed Seddik a fustigé le comportement du mouvement Ennahdha basé, selon lui, sur le chantage : « Les menaces de retourner à l'Assemblée nationale constituante, en cas de refus du candidat d'Ennahdha, ne sont pas dignes d'un partenaire à la recherche d'un consensus ».