Le retard accusé sur ce chantier s'explique par les difficultés financières auxquelles fait face l'entreprise adjudicataire. Le projet de réhabilitation de la route côtière reliant Salakta à Ksour Essef, dans le gouvernorat de Mahdia, affiche un taux d'avancement ne dépassant pas 25%, selon la Direction régionale de l'équipement. Le retard accusé sur ce chantier s'explique par les difficultés financières auxquelles fait face l'entreprise adjudicataire, a indiqué, hier à la TAP, le chef du projet, Adel Mouelhi. Il a précisé qu'une enveloppe supplémentaire pourrait être octroyée à l'entrepreneur, sous réserve du règlement de sa situation financière, afin de permettre la relance effective des travaux. Ce projet, dont le coût s'élève à 2,241 millions de dinars, porte sur un tronçon de 1,550 km et a été lancé le 1er novembre 2024.