Déficit flagrant de signalisation, nids de poule, obstacles de divers genres, sont en effet devenus le lot quotidien des utilisateurs de la Nationale n°1 au niveau du tronçon Ezzahra (12 km au Sud de la capitale), puis au niveau de celui du début de l'express Tunis. Un danger quotidien, surtout la nuit. Travaux qui s'étalent en longueur, en largeur Dans les deux sens, y compris le terre-plein central ainsi que les bas-côtés respectifs, les travaux battent leur plein depuis un bon moment au niveau de ces tronçons au trafic dense, de jour comme de nuit. Mêmes problèmes rencontrés tout au long de la dernière année, lors du réaménagement du tronçon Borj Cédria-Hammam-Lif de la même route. A part un grillage de séparation à certains endroits, le reste de ce gigantesque chantier est très mal protégé, et les travaux s'effectuent à plusieurs endroits avec, en plus de l'intervention d'équipes d'ouvriers, l'utilisation d'engins lourds et de camions de divers tonnages. Cela sans oublier les matériaux disposés souvent sans protection, tels que le gravier et les blocs pour les trottoirs. Pour les besoins des opérations, la largeur de la chaussée est parfois réduite sans un vrai souci de sécurité pour les usagers. La nuit, cette situation devient réellement dangereuse, surtout que l'éclairage public est défaillant à divers endroits. Idem pour les déviations imposées. Une meilleure signalisation, de jour comme de nuit et une meilleure protection des aires d'intervention sont vivement souhaitées. Il y va de la sécurité des usagers de ces tronçons ainsi que des travailleurs eux-mêmes. Il ne coûte rien, par ailleurs, de combler comme il se doit tous ces nids-de-poules, ces crevasses, ces mini-fossés rencontrés dans certains endroits et qui aggravent le calvaire des automobilistes.