Dans une déclaration à l'émisson « Ahla Sabah », le président de la Chambre syndicale nationale des propriétaires d'auto-écoles et d'établissements de formation à la sécurité routière, Mohamed Fadel Bakouch, a révélé de nouvelles mesures organisationnelles concernant le processus d'obtention du permis de conduire. La plus notable est l'obligation de signer un contrat de formation entre les auto-écoles et les candidats. Contrat de formation obligatoire M. Bakouch a précisé que ce contrat, qui entrera en vigueur le 1er septembre 2025, s'inscrit dans l'application du décret gouvernemental n° 510 de l'année 2021, qui vise à réglementer la formation pour l'obtention du permis de conduire. Ce document a pour but d'encadrer la relation entre l'auto-école et le candidat en définissant des engagements clairs pour les deux parties. Il doit être signé avant le début des leçons. Bien qu'obligatoire, le contrat est simple et contient des données limitées, mais les deux parties peuvent y ajouter d'un commun accord d'autres clauses contractuelles, ainsi que les conditions de résiliation. M. Bakouch a tenu à réfuter les rumeurs selon lesquelles ce contrat serait un « moyen de prendre en otage le candidat », affirmant que le candidat peut le résilier après l'échec des tests de conduite ou du code de la route. Il a également précisé que le candidat n'est pas obligé de passer les deux tests, car il peut simplement résilier le contrat après la date fixée pour ces derniers. À partir du 1er septembre 2025, chaque candidat devra présenter un dossier comprenant : Un contrat de formation avec une auto-école. Un certificat médical. Un procès-verbal de la commission des soins. Deux photos d'identité. Une copie de la carte d'identité nationale.