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Scandale à l'ONU
Partage de la Palestine
Publié dans La Presse de Tunisie le 28 - 11 - 2011


Par Ali MENJOUR
Le 29 novembre de chaque année est consacré par la communauté internationale Journée de solidarité avec le peuple palestinien.
En cette journée de 1947, l'Assemblée général de l'ONU a, en effet, voté le partage de la Palestine.
Par cet avatar historique, les pays «civilisés» qui, à l'époque, s'apprêtaient à mettre les dernières retouches au texte final de la Déclaration universelle des droits de l'Hommes (10-12-1948), n'ont pas hésité à porter au cœur même de la nation arabe le coup le plus dur de son histoire, en arrachant au peuple palestinien 56% de sa terre pour les donner aux juifs sionistes.
Drôle d'attitude de ceux qui se sont permis de s'imposer en «sages» et «moralistes» de l'humanité, dénonçant ainsi tout ce qui leur semble être «régime théocratique» et soutiennent en même temps et sans réserve les thèses des juifs sionistes fondées sur les concepts bibliques de l'appartenance de la «terre promise» au «peuple élu».
La Grande-Bretagne ferme les yeux sur le terrorisme sioniste
Nul n'ignore que le génocide hitlérien des juifs a joué un rôle déterminant dans la réalisation du projet colonial sioniste en Palestine.
Au cours du 22e congrès sioniste de Bâle en décembre 1946, Ben Gourion déclarait : «L'établissement d'un état juif étant la seule compensation concevable, si tant est que l'on puisse concevoir une compensation pour le massacre de six millions de juifs».(1)
Pour réaliser leur projet colonial, les sionistes ont tracé une stratégie en deux étapes successives. Elle consistait :
D'abord, dans l'annulation du mandat britannique ; ensuite la présentation de ce conflit entre les mains de l'ONU.
Pour garantir le maximum de succès à leur stratégie, les sionistes se sont appuyés sur les USA, principale puissance mondiale qui, à son tour, craignant la montée du nationalisme arabe ainsi que l'infiltration soviétique dans la région, n'a pas hésité à prendre la relève sur l'Angleterre sortie du deuxième conflit mondial affaiblie et exsangue.
A ce propos, le Président Truman disait en mars 1946 : «La Grande-Bretagne n'était plus en mesure de le faire, l'Amérique a décidé de reprendre à son compte les obligations de la Grande-Bretagne dans la Méditerranée orientale et le Proche-Orient».(2)
Pour amener l'Angleterre à renoncer à tous ses engagements et pour prouver au monde entier que les sionistes ont mené ce qu'ils ont ultérieurement appelé «guerre d'indépendance» contre l'occupant britannique, ils ont, alors, organisé une série d'actes terroristes contre toute forme de présence britannique, civile et militaire. Le déferlement de la violence sioniste a atteint son apogée le 22 juillet 1946 lorsque le King David hôtel, quartier général anglais à Jérusalem, fut dynamité. Contrairement à toute logique, la force mandataire britannique en Palestine avait l'ordre de patienter et de ne point répondre aux assauts meurtriers de sionistes.
Pendant cette période, force est de constater que l'attitude anglaise fut empreinte d'une ambiguïté déroutante. Ce qui ne laisse aucun doute quant à l'implication de certaines parties anglaises influentes au pouvoir avec des dirigeants sionistes. Ecoutons Sir Alan Cunnigham, haut commissaire britannique en Palestine, ce qu'il avoue à ce propos : «La fin du terrorisme juif aurait été une question d'heures si les troupes (britanniques) avaient été autorisées à user de toute la puissance de leurs armes. Mais de telles mesures n'ont jamais été envisagées par le gouvernement de Sa Majesté... Aucune autre troupe au monde n'aurait conservé autant de contrôle et de modération face à des provocations constantes».(3)
Pour mettre fin à la dégradation de la situation en Palestine et pour sauver l'honneur de l'armée royale, sortie victorieuse de la plus grande guerre qu'ait connue l'humanité, le ministre britannique des Affaires étrangères Bevin se prononça pour l'arrêt du mandat et la remise de la question palestinienne entre les mains de l'ONU.
Le 18 février 1947, la Chambre des Communes s'aligne sur la décision de Bevin et le 2 avril la Grande-Bretagne demanda officiellement au secrétaire général des Nations unies l'inscription de la question palestinienne à l'ordre du jour.
Ainsi, la première étape de la stratégie sioniste fut appliquée grâce à la connivence des Britanniques.
La responsabilité américaine directe dans le drame des Palestiniens
Les discussions au sein des Nations unies ont abouti à la résolution 106 votée le 15 mai 1947 et par laquelle une commission spéciale pour la Palestine fut créée : c'est l'Unscop (United Nation Special Commitee for Palestine).
D'après la résolution, la commission avait les pouvoirs les plus étendus pour procéder à des enquêtes en Palestine et dans les endroits où elle le jugeait utile. Elle était composée de 11 membres de divers pays et présidée par le Suédois Sadstroem.
Fin août 1947, la commission présenta son rapport à l'ONU dans lequel on distingue deux projets différents.
1- Le premier projet a requis la majorité des voix de la commission, à savoir l'Australie, le Canada, la Hollande, la Suède, la Tchécoslovaquie, le Guatemala, l'Uraguay et le Pérou. Il repose sur 3 suggestions.
a) Fin du mandat britannique.
b) Partage de la Palestine en un Etat juif et un Etat arabe.
c) Préserver la zone de Jérusalem sous patronage des Nations unies.
2- Le deuxième projet qui a requis les voix de la Yougoslavie,de l'Inde et de l'Iran reposait sur 2 recommandations.
a) Fin du mandat britannique
b) Création d'un Etat fédéral dont la capitale serait Jérusalem et qui se composait d'un Etat arabe et d'un Etat juif.
Il est regrettable de constater que la commission onusienne n'a considéré le problème qu'en termes politiques. L'incroyable inconscience a atteint son paroxysme lorsque la majorité des représentants des pays ont rejeté le rapport de Dhafrallah Khan dans lequel il demande le recours à l'arbitrage de la Cour internationale de justice. Mais en fait, qui pouvait inverser le courant des événements sur lesquels Russes et Américains étaient parfaitement d'accord ? Et quel arbitrage juridique réclame-t-on alors que les jeux sont déjà faits ?
Dés la création de l'Unscop, le représentant de l'Urss aux Nations unies, Gromyko, déclarait le 14 mai 1947 :
«En raison des relations de plus en plus tendues entre juifs et arabes, le partage du pays en deux Etats indépendants s'impose».(4)
Quant aux USA, les multiples interventions du lobby sioniste au Congrès ont été à l'origine du fameux télégramme des 23 gouverneurs d'Etat (septembre 47) au Président Truman, dans lequel ils confirment leur appui inconditionnel au plan de partage(5.)
Ainsi, la décision de partage de la Palestine a été entérinée par les deux superpuissances qui, sur le plan juridique, n'ont trouvé aucune gêne à défier les notions les plus élémentaires du droit par leur refus de consulter les habitants mêmes de la Palestine.
Pire encore, la décision de partage était non seulement injuste mais même provocatrice pour les Palestiniens qui représentaient à l'époque 70% de la population et auxquels on a attribué 43,65% de leur pays. Quant aux sionistes qui ne comptaient pas plus de 30% de la population, ils se sont vu offrir 56% du territoire de la Palestine.
Le reste, c'est-à-dire 0,65% (représentant Jérusalem et ses environs), était considéré comme «zone internationale» devant être administrée par l'ONU.
Depuis que la commission onusienne a tranché pour le partage, les pressions sionistes de toutes sortes n'ont pas cessé pour aboutir à l'élaboration de ce plan de partage ridicule.
Enfin, arriva le moment fatidique du vote à l'Assemblée générale des Nations unies.
Là, pour ne point entacher les vérités historiques d'une quelconque subjectivité, mieux vaut céder la parole à différentes personnalités américaines de l'époque pour nous décrire les péripéties du vote. Commençons par la déclaration du congressiste Lawrence H.Smith du 18 décembre 1947 devant le Congrès américain, soit vingt jours après le vote du partage.
« Jetons un retard sur les archives, Monsieur le Président, et voyons ce qui se passa à l'Assemblée générale des Nations unies durant la réunion précédant le vote de partage. A deux reprises, l'Assemblée allait voter et, par deux fois, le vote fut remis. Il est évident que le prolongement du délai était nécessaire. Vu que les garants, les U S A et l'Urss, n'avaient pas les voix nécessaires, il est rapporté de source sûre que pendant ce temps, une forte pression fut exercée sur les délégués de trois petites nations par les membres de la délégation américaine et par de hauts fonctionnaires à Washington.
Qu'advient-il finalement lors du vote du 29 novembre ? Les votes décisifs furent ceux de Haïti, du Liberia et des Philippines. Ces votes suffirent pour emporter la majorité des 2/3. Auparavant, ces pays s'étaient opposés au partage. Les pressions exercées sur eux par nos délégués, par nos officiels et par des citoyens américains constituent un acte répréhensible à leur égard et au nôtre».(6)
Les pressions sur les trois petites nations ont été confirmées avec un ton dénonciateur par le journaliste Drew Parson dans le Chicago Daily du 9 février 1948 .
«Une partie du peuple usa de son influence pour amener les votants à s'aligner. Harvey Firestone possédant des plantations de caoutchouc au Liberia agit auprès du gouvernement libérien ; Adolphe Berle, conseiller du président de Haïti , gagna le vote du gouvernement haïtien, etc.».(7)
Quant aux responsables américains, d'après leurs aveux colligés à travers leurs écrits de l'époque ainsi que leurs déclarations, ils confirment l'intervention directe des hommes de la Maison-Blanche pour faire réussir le vote et ne laissent aucun doute sur les différentes pressions américaines sur les pays pour les contraindre et les forcer par tous les moyens à voter en faveur du partage.
Le sous-secrétaire d'Etat Summer Welles, affirmait sans ambages : «Pour ordre direct de la Maison-Blanche, les fonctionnaires américains devaient user des pressions directes ou indirectes sur les pays non-musulmans afin d'assurer la majorité nécessaire au vote final». (8)
James Forestar, ministre de la Défense, ne pouvait cacher son angoisse devant de pareilles méthodes .
«Les méthodes utilisées pour faire pression et pour contraindre d'autres nations au sein des Nations unies frôlaient le scandale».(9)
Robert Lovent, sous-secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, a parfaitement décrit le mécanisme du processus pour aboutir au vote de partage .
«Je n'ai jamais vu de ma vie une pression comparable à celle qu'exercent la Maison-Blanche et les amis du Président Truman au cours des trois jours du vote du partage de la Palestine...A deux reprises, Truman me téléphona pour me notifier qu'il me tiendrait personnellement responsable au cas où le projet de partage ne réussirait pas à obtenir la majorité requise».(10)
Dean Rusk, ex-secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères et qui était à l'époque directeur de la division des Nations unies à ce ministère avouait de son côté : «Je reconnais que plusieurs hauts fonctionnaires de ce ministères avaient effectué des démarches personnelles auprès d'un grand nombre d'ambassades étrangères accréditées à Washington dans l'espoir de convaincre leurs gouvernements de la nécessité de voter pour le projet de partage...Mais il ne fait pas de doute que l'opinion, qui a eu cours au sujet de la décision, dépouille cette décision de toute valeur morale en ce qu'elle la présente comme ayant été prise sans conviction par les délégations qui ont voté en faveur du projet de partage».(11)
Aux témoignages de cette pléiade de hauts responsables américains, il faut enfin citer celui du Président Truman qui écrit dans ses mémoires :
«Je ne crois jamais avoir été soumis à une telle propagande ni à une telle pression. L'obstination de quelques leaders sionistes mus par des motifs politiques m'embarrassa et m'ennuya. Certains allèrent même jusqu'à nous suggérer de faire pression sur des nations souveraines pour les amener à voter en leur faveur à l'Assemblée générale».(12)
En dehors de leurs cadres historiques, il est difficile de comprendre les raisons de la soumission de Truman aux sionistes et ses réponses favorables à leurs vœux.
Il est, d'abord, regrettable de noter que depuis l'avènement du sionisme, la politique américaine concernant la Palestine était motivée par le vote juif et par les contributions que différentes firmes juives payaient aux partis.
Conscient de la puissance du lobby sioniste, capable de propulser au pouvoir n'importe quel politicien ou de le démettre, Truman déclarait en 1946 à un groupe de diplomates américains qui lui suggérait un peu plus d'équilibre dans la politique américaine au Moyen-Orient : «Je regrette, Messieurs, mais je dois répondre à des centaines de milliers de gens qui attendent le succès du sionisme. Je n'ai pas de centaines de milliers d'Arabes parmi mes électeurs».(13)
Toujours dans le cadre politiquo-historique, il faut noter que l'année 1947 était une année préélectorale aux USA.
Trumann candidat démocrate, dont la popularité était nettement inférieur à celle de son adversaire le républicain Thomas Dewey, savait que sa seule chance pour vaincre consistait à jouer à fond la carte sioniste.
Sa réélection en novembre 1948 a été considérée aux USA comme la surprise politique du siècle (14). Elle n'était due qu'au soutien massif des sionistes.
C'est dans ce contexte que l'Assemblée générale des Nations unies a «voté» le partage de la Palestine et aussi après un accouchement laborieux, les Nations unies ont donné naissance au document A519 connu sous le nom de résolution 181 qui a défini les frontières des deux futurs Etats arabe et juif. Jusqu'à nos jours, aucune autre décision onusienne n'est venue abroger la résolution 181 ni transformer les frontières tracées par celle-ci.
Nonobstant cette injustice, les sionistes ne se sont jamais contentés des 56 % de la Palestine.
Après le déferlement de la vague de terreur inaugurée par le massacre de Deir Yassine (9-4-48) voilà ce que Ben Gourion déclare le 10-06-1948 : «Nos frontières se sont étendues, nos forces armées se sont multipliées. Nous ne pouvons donc que tenir ce que nous avons pris.» (15)
Tout ce qu'on peut conclure, à la lumière des différentes étapes qui ont conduit au partage de la Palestine, c'est que les Anglais et les Américains assument la plus grande responsabilité politique et morale dans le calvaire du peuple palestinien.
Il est regrettable de constater qu'après toutes les souffrances qu'ils ont causées à ce peuple, les dirigeants politiques américains poursuivent sans gêne leur soutien inconditionnel à l'entité sioniste. Leur sortie de l'Unesco — parce qu'elle a voté démocratiquement l'entrée de la Palestine en son sein — en témoigne.
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Références
(1) Le monde juif N°5 Janv. 1947 cité par B. Kheder. Hist. De la Palestine Tome 3, p. 95.
(2) Cité par B. Kheder. Hist. Palest. , Tome 3, p. 94 et par la revue Les Dossiers de l'Hist. N°2, p. 65.
(3) Jean-Pierre Alain, cité dans Hist. Palest. Tome 3, p. 93.
(4) A qui appartient la Palestine, cité dans Hist. Palest., Tome 3 p. 104.
(5) Hist. De la Palestine Tome 3 , p. 104.
(6) US Congress Record du 18-12-47 , cité Hist. Palest. Tome 3 , p. 132, et par R. Garaudy Aff. Israël , p. 61.
(7) Cité par Hist. Palest. Tome 3 , p. 132; Aff. Israël, p. 61.
(8) Palestine terre des messages divins, R. Garaudy, p. 256, Hist. Palestine, Tome 3, p. 138.
(9) Palestine terre des messages divins, R. Garaudy, p. 256, Hist. Palestine, Tome 3, p. 138.
(10) Voici la Palestine _ Hussein Triki, p. 157.
(11) Voici la Palestine _ Hussein Triki, p. 158.
(12) Memory by Harry Truman, cité par Alan Taylor _esprit sioniste_ p.131.
(13) Palestine terre des messages divins_R. Garaudy, p. 257.
(14) Le Monde du 30-10-88 _l'élection surprise de Harry Truman _ par Henri Pierre.
(15) Histoire de la Palestine, Tome 3, p. 171, B. Kheder.


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