Le 29-3-2012, l'EST a battu l'ASM grâce à un penalty provoqué par Khaled Korbi. Justement à propos de ce penalty, pour l'ex-premier responsable de la CAA, Younès Selmi, il n'y avait pas faute sur Korbi donc pas de penalty parce que la main droite du gardien Jebali n'est pas allée vers Korbi pour le déséquilibrer. C'est comme si, seule, une main droite est en mesure de provoquer la faute et la sanction suprême dans la surface de réparation. L'autre main, celle de gauche et le reste du corps de tout joueur n'entrent pas en ligne de compte. Le 29-3-2012 à Béja, le responsable de la moviola a aussi commenté que le but réalisé par Ezechiel en prétendant qu'il n'y avait pas une position d'hors jeu de Messaâdi. Pourtant, ce dernier devançait de cinq mètres un défenseur de l'Olympique de Béja. Le 22-4-2012 à Gabès, Aouadhi en position de marquer a été fauché par Chibani, ce fut le penalty bien botté par Aouadhi. Younès Selmi estime, lui, que l'arbitre a commis une faute en sifflant un penalty, alors que l'image est nette et que le fauchage est réel. Trois réactions tirées par les cheveux émanant de cet ex-responsable de la CAA qui a commenté ces trois séquences. Il faut dire que c'est sa propre interprétation. Younès Selmi, ex-arbitre et ex-président de la CAA, est censé remédier aux fautes des arbitres, mais ses interprétations peuvent avoir un impact négatif sur une frange de public qui irait jusqu'à penser que la lecture des séquences présentées par la moviola est mal intentionnée.