Des élections partielles pourraient être convoquées pour parer à la démission de deux membres du BD Deux cas de démission se posent, aujourd'hui, à l'Olympique de Béja touchant deux membres élus du bureau directeur: le secrétaire général Msaddak Baccar qui n'a toujours pas digéré la remarque de l'arbitre d'un des matches des Cigognes adressée à son endroit («Vous êtes vieux et vous mentez!»), et Imed Taboubi, porte-parole du club, lequel veut partir pour des raisons personnelles et professionnelles. Il pourrait être remplacé par Makram Kouki. «Des élections partielles touchant le remplacement de ces deux membres pourraient être convoquées, même si nous ne perdons pas tout espoir de faire revenir Msaddak Baccar sur sa décision», nous signale le président de l'OB, Jalel Gharbi. Volet encadrement technique, ce dernier a exprimé la satisfaction de son bureau pour le travail effectué par Fethi Laâbidi : «Même à Kairouan, où nous avons été battus, nous n'avons point démérité», relève-t-il. Par ailleurs, la question de la succession de Hichem Ghozzia, le préparateur physique, n'a toujours pas été tranchée. L'ancien attaquant du club Nabil Bechaouch et Faouzi Ouerghi tiennent la corde. Rappelons que Ghozzia va partir exercer en Libye. Enfin, parmi le quatuor menacé à un certain moment de voir son contrat résilié, seul le défenseur Aymen Néji a fini par se résigner à cette issue : «Un accord verbal a été trouvé avec Néji dans le sens d'un divorce à l'amiable en attendant sa concrétisation. Les trois autres joueurs Hichem Essifi, Bilel Bachouche et Raouf Ratouli, dont le rendement a été jugé insuffisant, font depuis preuve de sérieux. Ils reviennent progressivement avec l'équipe seniors», conclut le premier responsable de l'OB.