Après plus d'un mois et demi de sa radiation à vie par le bureau fédéral, Moncef Khemakem, soutenu plus que jamais par toutes les composantes du club continue d'assumer pleinement ses responsabilités à la tête du club phare du sud « personne ne pourra me déloger de mes fonctions de président élu par la masse des supporters « Noir et Blanc ». C'est eux seuls en effet que revient le droit de décider si je dois rester ou partir. Et à ce que je sache, je continue, n'en déplaise à la FTF, de bénéficier de leur inébranlable confiance et de leur entière confiance. Pour le reste.... » Tout en rappelant les injustices dont le CSS « fut victime depuis l'entame de la phase du Play-off » Moncef Khemakhem a indiqué que « notre 4ème place au classement général nous a été fixé d'avance par l'instance fédérale. Au début du championnat, les choses se déroulaient à peu près normalement. Aussi, cours de la première phase de la compétition, nous n'avons pas été, dans l'ensemble, lésés par l'arbitrage. De ce fait, nous avions pu boucler cette phase en tête du classement de notre poule. Mais à partir de l'entame du Play-off, les choses se sont gâtées et n'étaient plus ce qu'elles étaient, côté arbitrage. Je demeure convaincu que, sans les erreurs à répétition des hommes en noir dont nous avons fait les frais, nous aurions pu terminer le Play-off à la deuxième place. Mais, ce n'était guère le classement que voulait la FTF pour le CSS ». Rira bien, qui rira le dernier ! Moncef khemakem va plus loin encore quand il affirma que « l'actuel bureau finira de si tôt par tomber et pour être remplacé par une nouvelle équipe « qui aura la charge de veiller avec probité à la transparence de notre compétition. Nous faisons circuler depuis quatre jours une pétition qui appelle à la dissolution de l'actuel bureau fédéral qui a failli à ses responsabilités en faisant fi notamment du principe de l'impartialité et de la neutralité et la tenue d'une assemblée générale élective extraordinaire. Nous avançons bien dans le sens de la réalisation de cet objectif puisqu'en ce laps de temps, nous avons déjà obtenu 62 signatures de présidents de clubs, toutes divisions confondues, sur les 149 requises (le quorum légal).