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Descente aux enfers... en 10 actes
Bourrasque au sein de l'ES Zarzis
Publié dans Le Temps le 31 - 03 - 2008


*
Réactions de certains membres, ex-joueurs ou supporters
Cette comédie devenue vers sa fin une tragédie par la défaite de son héros, si on ose parler de défaite, n'a pas commencé au début de l'actuel exercice, mais bel et bien avant, depuis la saison passée. Beaucoup de gens à Zarzis avaient observé de visu, l'impatience de Friaâ, alors premier vice-président de Fethi Jemaa,
à se hisser aux commandes du club. Il aimait passionnément l'équipe de sa ville et il voulait la servir pour en faire l'un des meilleurs clubs du pays. Son rêve devint vite réalité. Mais cette réalité se mua malheureusement pour tout le monde en cauchemar, en tragédie.
Ridha Friaâ, pour avoir cherché à brûler les étapes pour ne pas dire autre chose vient de l'apprendre à ses dépens. Tout a commencé au mois de juin dernier.

Acte I
• Difficultés dès le début à former une équipe dirigeante pouvant répondre aux attentes des supporters.
•Recours à des gens qui n'ont aucune expérience dans le domaine.
Friaâ s'était emparé,( beaucoup de supporters zarzissiens avaient parlé de coup d'état), de la présidence de l'ESZ après seulement une année d'apprentissage en tant que dirigeant, premier vice-président aux côtés de Fethi Jemaa , aujourd'hui président de la commission des litiges au sein de la FTF. La quasi-totalité de ces supporters avaient vu en lui le président qu'il fallait et l'avaient plébiscité lors de l'assemblée générale extraordinaire tenue très tôt, au mois de juin, contrairement à toutes les saisons précédentes au cours desquelles le démarrage avait été toujours pénible pour l'équipe sudiste. Friaâ avait alors tout le temps nécessaire pour monter une équipe valable qui serait en mesure de prendre un bon départ et rivaliser avec les meilleures du championnat.
L'optimisme dans les rangs des supporters ainsi que des nouveaux dirigeants était de mise.

Acte 2
• Première gaffe : le recrutement de plusieurs joueurs avant même l'avènement de l'entraîneur.

• Démission du premier responsable des recrutements Kamel Malloug en contestation au pouvoir personnel de son patron.
• Le doublement, voire le triplement des salaires et autres primes de joueurs.
• Les promesses non réalistes et réalisables tenues : jouer pour les compétitions continentales et arabes. Au lieu de se tenir à son rôle, oh combien délicat et important ! le nouveau président s'en appropria tous les autres faisant du reste acteurs de simples figurants. Ainsi il se permit le luxe de recruter un nouvel entraîneur en la personne de Moncef Chargui sans l'avis de ses collaborateurs et une quinzaine de nouveaux joueurs dont la plupart sans l'avis de ce dernier. Fier de sa moisson, il organisa sa première conférence de presse au cours de laquelle il dévoila les noms de ses nouveaux joueurs et fit connaître les ambitions de son équipe : « Nous avons enrôlé, avait-il annoncé aux correspondants sportifs de la région ce jour-là, un entraîneur très compétent et une quinzaine d'éléments dont plusieurs sont considérés parmi les meilleurs du pays à leurs postes. Notre objectif, poursuivit-il, sera de nous classer parmi les équipes du haut du tableau, 5ème ou 6ème : des places qualificatives aux compétitions arabes ou africaines. » Malgré quelques réserves de certains présents au point de presse sur la manière avec laquelle Friaâ avait débuté son règne, les avis lui avaient plutôt été favorables.

Acte 3
• Les résultats en deçà des attentes compliquèrent la tâche du président.
• Friaâ tint bon ... Feu de paille !
Deux jours après ce point de presse, l'ESZ, version Ridha Friaâ, fut humiliée sur sa pelouse par le néo-promu en Ligue 1, le SG. Premier revers cuisant et premier camouflet au président que le public présent ce jour-là hua et insulta en même temps que son coach pour le rendement peu convaincant des nouveaux recrutés ainsi que pour la manière de jouer de l'équipe. Une certaine angoisse quant à l'avenir de leur équipe s'installa dans les rangs des supporters. Au fil des semaines, particulièrement après les deux premiers matches du championnat, et en dépit de la victoire face aux Béjaois lors de la seconde journée, les fans n'étaient guère sereins.
Leur contestation concernant l'entraîneur Chargui, sa manière de gérer le groupe ainsi que ses choix de joueurs et de tactique s'amplifia. Après seulement deux ou trois journées, l'on cria à son limogeage.
Friaâ tint bon et déclara en réaction à un article de notre journal que Chargui ne serait en aucun cas remercié : « Je le dis et je le répète, rétorqua-t-il aux protestations des uns et des autres qui le pressaient à renvoyer son technicien, ma confiance est totale en notre coach. Chargui demeurera notre premier responsable technique jusqu'à la fin de la saison. » La tension baissa quelques jours. Il crut avoir réussi à décourager tout le monde.
Bilan de Moncef Chargui : une victoire, un nul et trois défaites.

Acte 4
• Recul du président et limogeage de son coach Chargui : début de la fuite en avant.
• L'ami du président, Ahmed Labiadh au devant de la scène. Du pur hasard ou un scénario préparé ?
Deux nouvelles défaites face respectivement au CSS et surtout JS scellèrent le sort de Moncef Chargui. Les supporters mécontents prirent à partie ce dernier lors d'une ou deux séances d'entraînement. Friaâ, sous la pression de toutes les parties prenantes du club, céda. Après une réunion avec les joueurs à qui il donna la parole et demanda leur avis sur la qualité du travail de leur coach, avait-il été logique, le président décida de limoger son entraîneur au profit de son directeur des jeunes Ahmed Labiadh. Première véritable défaite du président, prémice de lendemains difficiles.
Bilan Ahmed Labiadh : une défaite et un nul à Gabès.

Acte 5
• Changement au sein du bureau : Samir Abichou relaie Adel Merai à la tête de l'équipe fanion.
• Recrutement de Mokhtar Tlili qui échoue dans son entreprise.
• La situation se dégrade une seconde fois.
Ahmed Labiadh, le directeur technique des jeunes prit temporairement en mains l'équipe jusqu'à l'arrivée de Tlili dont l'avènement à la tête des camarades de Nebhani divisa les fans zarzissiens. L'arrivée du « dinosaure » à Zarzis fut à l'origine de houleuses échauffourées dans les rangs de ces derniers. Mais l'intervention de Samir Abichou, fraîchement nommé alors premier responsable de l'équipe fanion en remplacement de Adel Merai promu vice-président et qui jouit du respect des inconditionnels supporters, permit le retour au calme. Un calme précaire. Mokhtar Tlili, fort de son expérience et de sa réussite avec le CAB qu'il avait maintenu en Ligue 1 la saison écoulée, entama sa tâche dans le but de redresser une situation difficile. Mais les résultats demeurèrent en deçà des attentes. La trêve n'était plus loin. Le mercato d'hiver tombait à pic. Le président et son entraîneur se mirent d'accord sur les détails de l'opération redressement et le recrutement de 4 ou 5 nouveaux joueurs de qualité. Tlili, en vieux routier dans le domaine, crut avoir réussi à dompter son président pour devenir le principal acteur.
Comme à son accoutumée, il cria victoire, multiplia les déclarations et menaça même de partir.
Il ne savait pas que son patron attendait la trêve pour se débarrasser de lui.
Bilan Mokhtar Tlili : 4 défaites en autant de matches à la tête de l'équipe.

Acte 6
• Séparation consommée d'avec Tlili.
• Eviction du responsable de l'équipe Samir Abichou.
• Démission du trésorier du club Ahmed Jaziri.
• Démission du secrétaire général de l'équipe Salem Nattahi.
• Rappel de Ahmed Labiadh.
La veille du match face au CSHL, perdu par ailleurs par la faute du dinosaure, l'ambiance ne fut pas des plus gais à l'hôtel où résidait l'équipe. Tout un chacun remarquait clairement une certaine froideur entre les dirigeants et le technicien : « il y avait anguille sous roche, me dit un camarade présent à mes côtés ce soir-là ». Le lendemain, juste avant le démarrage de la partie , comme pour ne pas nous contredire, Tlili m'appela et me souffla qu'il allait partir : « quel que soit le résultat », a-t-il tenu à dire. Friaâ cria à l'ingratitude, s'étonna de l'attitude de son coach qui n'aurait pas dû annoncer sa décision à un moment où tout le monde préparait un match déterminant. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. La séparation fut consommée « à l'amiable », dirent l'un et l'autre. Ahmed Labiadh, le directeur technique et ami personnel du président fut rappelé à la rescousse, mais cette fois comme « entraîneur en chef jusqu'à la fin de la saison, annonça haut et fort Friaâ comme pour couper court à toute contestation ».

Acte 7
• Démission du président puis retour à de meilleurs sentiments.
• Rappel de Kamel Melloug à la place de Abichou.
• Nomination d'un nouvel accompagnateur Lassaâd Sghaier en remplacement de Khalil Chlendi.
• Intégration de deux nouveaux membres : Kazouz et Laârayadh sitôt partis pour divergences avec le président.
Les résultats des derniers matches avant la trêve qu'a connue le championnat en raison de la CAN, quoiqu'ils n'aient pas été positifs, une défaite et deux nuls, confortèrent le président et même certains proches et supporters dans cette décision de confier les destinées techniques de l'équipe fanion à Labiadh. Et pour répondre aux demandes pressantes de la plupart des fans qui demandaient l'élargissement du bureau à des ex-joueurs et membres des comités précédents connus pour leur dévouement aux couleurs de leur club et leur expérience, Friaâ fit appel à deux ex-gloires sang et or Abdessalem Kazouz et Lotfi Laârayadh comme conseillers aux recrutements.
Seulement le bail de ces deux derniers dans le bureau ne dura qu'une semaine environ. Ils se retirèrent discrètement : l'accord avec le président concernant le recours aux compétences d'un grand entraîneur et le recrutement des joueurs fut impossible.

Acte 8
• La crise s'installe après la défaite de Gafsa.
• Le président cafouille et accuse l'arbitrage puis ses propres joueurs.
• La confiance déjà précaire se dégrade entre les parties prenantes du club.
Les matches amicaux encourageants durant la trêve, particulièrement avec l'apport des nouveaux venus parmi l'effectif, présagèrent de lendemains meilleurs et d'un retour en force des camarades de Hosni revenu parmi les siens après quelques mois à l'USMo.
Seulement, on avait oublié que la compétition officielle n'a rien à voir avec les matches amicaux. Et malgré les sacrifices financiers énormes, il s'avéra que des erreurs furent commises lors du choix des joueurs, le Camerounais Serge Patrick en était le meilleur exemple. Les résultats en dents de scie se poursuivirent. L'équipe ne pouvait plus éviter la dégringolade vers la Ligue 2. La tension montait dans les rangs des fans déçus. La rencontre de Gafsa, qui s'était soldée par une énième défaite, déclencha une grave crise. Friaâ, comme à son habitude, accusa à chaud le corps arbitral qu'il considéra à l'origine de tous les maux de son équipe avant de revenir à la charge deux jours plus tard et demander à son président de la commission des supporters de répandre dans la ville que son gardien Hosni avait levé le pied au cours de ladite rencontre.
Bilan Ahmed Labiadh pour son second bail : 5 parités et 5 défaites.

Acte 9
• Arrêt des entraînements par les supporters.
• Pétition des joueurs contre l'incapacité de diriger de leur président.
En réaction à la mauvaise gestion des affaires courantes de leur club, les supporters envahirent le terrain et arrêtèrent la séance d'entraînement de mardi dernier. Les joueurs signèrent une pétition dans laquelle ils exhortèrent les autorités à intervenir : leur président n'étant pas à la hauteur de la mission dont il avait été investi. Une première dans les annales du football professionnel à la tunisienne. Non, une seconde après la pétition envoyée il y a cinq saisons par les joueurs de l'ESZ contre leur président Yacine Gana.

Acte 10
• Démission du président Friaâ.
• Une commission de bénévoles prend momentanément les commandes.
Les fans et les férus du ballon rond dans tout le pays attendaient impatiemment la réaction du président Friaâ et les sanctions qu'ils allaient prendre à l'encontre de ses joueurs qui n'ont pas le droit comme stipulé sur leurs contrats de signer quoi que ce soit avant l'autorisation de leurs employeurs. Trois jours d'attente. Le samedi, au cours d'une réunion au local, une première aussi, le président surprit tout le monde par sa démission de la direction des affaires de son équipe : « Je n'ai plus le courage de les regarder en face, de leur adresser la parole, je m'en vais la conscience tranquille », aurait-il dit à ses collaborateurs. Une fin prématurée tragique pour une expérience que tout le monde à Zarzis voulut plus heureuse.
Hédi OMRANI
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Réactions de certains membres, ex-joueurs ou supporters
• Salem Nattahi (ex-secrétaire général)
« Je suis très triste pour la dégradation de la situation. Mais j'avoue qu'en dépit de toutes les divergences que j'ai eu avec lui, Ridha Friaâ ne mérite guère ce qu'il est en train de vivre. Car il a une passion indescriptible pour son club. Il a échoué, il n'est pas le seul à devoir assumer les conséquences de cet échec. Les joueurs, quant à eux, je trouve après leur pétition, qu'ils sont irresponsables, ingrats. Ils ne méritent pas de figurer parmi l'effectif de notre équipe ».

• Abdessalem Kazouz (ex-joueur de l'ESZ des années 90)
« C'était prévisible. Il ne faut pas se leurrer. Je l'avais vécu de prêt pendant quelques jours. Friaâ n'était pas l'homme de la situation, ni même Labiadh qu'on avait jeté à un moment où il n'était pas capable de l'assumer. Au lieu de le servir et le préserver, on l'a desservi et brûler ».

• Noureddine Bourguiba (co-responsable technique des seniors)
« Croyez-moi, le président n'a rien ou presque à se reprocher. Il a offert à tout le monde les conditions idoines pour travailler. Mais je pense que les hostilités , les différents entre toutes les parties prenantes du club furent à l'origine du cauchemar que nous sommes en train de vivre. Et c'est à non pas douter, notre équipe, que tout un chacun prétend défendre, qui en pâtit ».

• Hédi Nattahi (responsable des catégories des jeunes)
« Que tout le monde le sache. Ce n'est pas la première fois que notre équipe descend dans une division inférieure. Elle a ses adhérents et ses fidèles, elle saura se ressaisir et revenir à la place qui lui sied. Cette saison, comme bien d'autres auparavant, il y a eu des erreurs. Il faut les assumer, mais ce qui vient d'advenir de nos joueurs seniors constitue une honte, une gifle à toute la grande famille zarzissienne. J'estime que la meilleure solution pour venir à bout de toutes ces difficultés que nous sommes en train de vivre est de faire confiance à nos jeunes. Que la préparation à la saison commence dès maintenant. Car la relève existe ; nos juniors sont pétris de qualité et pourront, j'en suis persuadé nous valoir beaucoup de satisfaction. Il suffit tout simplement de croire en eux et de leur offrir toutes conditions propices ».


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