Quoique considéré comme une petite cylindrée comparé aux grosses écuries dont le budget atteint des chiffres faramineux, le CSHL peut néanmoins se targuer de ne point souffrir de problèmes financiers et ce en dépit de ressources relativement réduites. Ce n'est sûrement pas le Pérou, mais selon Bhar, le club n'est pas endetté et tous ses joueurs sont régulièrement payés. : « Je puis affirmer que tous les engagements envers mes poulains sont tenus. Et ce n'est pas rien au vu de la modestie de nos moyens. Mais j'ai toujours prôné la transparence envers ceux qui mouillent leur maillot pour mes couleurs. Et ce n'est que de la sorte qu'on arrive à se faire respecter et à instaurer la discipline au sein de notre famille. Car comment voulez vous qu'un élément perturbé par des salaires non perçus puisse se donner à fond, suive les directives d'un entraîneur ou ne manifeste pas d'insubordination à l'endroit de ses employeurs ? Mieux, j'affirme que tous mes joueurs en fin de contrat me courent après pour renouveler leur bail avec le club. Chose que je ferai avec plaisir au moment opportun. Certes je suis étonné et un tantinet agacé par les manœuvres peu cavalières de certains clubs à approcher mes joueurs derrière mon dos pour les recruter avec des offres alléchantes. Mais cela ne m'inquiète pas outre mesure, rassuré que je suis de la loyauté de mes protégés. »