L'homme est mis en examen pour faux et usage, usurpation de titre, exercice illégal de la médecine, agressions sexuelles et viols sur quatre personnes. Selon le parquet de Chartres, son mode opératoire était bien au point. Il est accusé d'avoir utilisé des renseignements syndicaux pour entrer en contact avec ses futures victimes. "Le mis en cause a eu connaissance par le biais de ses anciennes activités syndicales du licenciement de diverses personnes", précise le procureur de la République de Chartres, Philippe Peyroux. "Il convoquait les victimes à un entretien de reclassement professionnel, par courrier à en-tête de l'organisation syndicale à laquelle il avait précédemment adhéré". C'est ensuite que tout dérapait. Lors des entretiens qui se déroulaient dans un appartement de Chartres, l'homme, selon le parquet de Chartres, proposait aux victimes de se soumettre à un examen médical, arguant d'une fausse qualité de médecin du travail. "Certains gestes pratiqués à ces occasions sont susceptibles de revêtir la qualification d'agressions sexuelles, voire de viols", souligne le parquet de Chartres. L'auteur présumé a été placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Chartres. Des investigations sont toujours en cours, notamment pour déterminer le périmètre d'action du suspect et identifier d'autres victimes. ------------------------------ En rentrant chez lui, les cambrioleurs lui tirent dessus Vendredi, alors que cet homme âgé de 49 ans rentrait à son domicile, à Berthelming, en Moselle, il a été accueilli par des cambrioleurs qui sortaient de sa maison. Les cambrioleurs ont tiré à trois reprises sur la voiture, avec une 22 long rifle. L'homme a été blessé au thorax et à la cuisse. La victime a toutefois réussi à repartir avec sa voiture jusqu'à la gendarmerie de Frénétange, à quelques kilomètres de sa maison. Après avoir été hospitalisée, la victime a pu regagner son domicile dans la journée. Les cambrioleurs se sont enfuis en empotant plusieurs objets de valeur, précise Le Figaro. L'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie de Metz. ------------------------------ Alors qu'il rentraitchez lui, les cambrioleurs lui tirent dessus Vendredi, vers deux heures du matin, un individu a pénétré au domicile de la suppléante du conseiller général Thierry Procida, à Nîmes dans le quartier du Mas de Mingue. Une fois à l'intérieur du logement, l'individu, le visage masqué, a réveillé sa victime avant de la rouer de coups. Il a ensuite ligotée cette femme, âgée de 62 ans, avant de lui dérober des effets personnels. En s'enfuyant, l'agresseur a mis le feu à la maison. Par chance, la victime a réussi à défaire ses liens avant que les pompiers n'interviennent sur les lieux du sinistre. Selon Midi Libre, la maison de la sexagénaire a été entièrement détruite par les flammes. La victime a été hospitalisée au CHU de Nîmes, sans pour autant que ses jours soient en danger. Selon les premiers éléments de l'enquête, les causes de cette violente agression seraient « gratuites». ------------------------------ Un forcené abattu par des policiers en Seine-Saint-Denis Un forcené armé d'un fusil qui s'était retranché dans son appartement du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), près de Paris, a été abattu hier par la brigade anti-gang, a-t-on appris de source policière. L'homme âgé de 70 ans environ s'était enfermé chez lui en fin de matinée à l'arrivée des pompiers, appelés par des voisins qui avaient entendu des cris. Son épouse a alors quitté l'appartement. Resté seul, l'homme tenait des propos incohérents et menaçait d'ouvrir le feu. Les négociations s'aboutissant pas, la brigade anti-gang est intervenue vers 16 heures, blessant mortellement le forcené qui aurait, selon la police, tiré sur les forces de l'ordre sans faire de blessés. L'inspection générale des services a été chargée d'une d'enquête et la police judiciaire de Seine-Saint-Denis en a ouvert une deuxième pour "violences conjugales".