Quand nous avions écrit ici même que les vrais stadistes traitaient le bureau directeur du club du Bardo, d'une bande d'incapables, cela a été très mal perçu. Aujourd'hui nous l'affirmons encore, puisque, lors de la reprise d'hier, certains énergumènes, devant l'absence des responsables, avaient osé s'attaquer à Patrick Liewig, en présence de son épouse, venue se reposer. Curieux de constater qu'il n'y a plus de club, et, que c'est la rue qui commande. Un président, et, un second se sont enfuis, d'autres pseudo-dirigeants qu'on ne voit plus, un coordinateur actuel qui n'entend pas lui non plus prolonger, clanisme, sabotage, retard des salaires, bref, le Stade Tunisien va droit au mur. On a beau réclamer plus de rendement des joueurs, mais, on devait plutôt en revendiquer plus de la part des responsables, ceux partis, et, les figurants qui ne sont encore là que pour raisons égocentriques. Il est malheureux de voir des décérébrés, des sans foi, ni loi, se mêler directement à la vie du club, et, l'entrainant vers les abysses d'un puits d'abjection dont il lui sera difficile de s'extirper. Encore une fois, quitte à nous seriner, Patrick Liewig et son staff ne sont pour rien dans la chute libre du Stade Tunisien. Les dirigeants en sont responsables, mais comme ils ont peur de ces inqualifiables, ils cherchent par tous les moyens de faire porter le chapeau au Français. La situation est très grave !