L'hypertension et les maladies cardiovasculaires : un problème de santé publique touchant un Tunisien sur 3 Le MICARDIS, le dernier né des laboratoires B.I est à 100% remboursé par la CNAM L'hypertension artérielle et les maladies cardiovasculaires demeurent mal diagnostiquées et mal prises en charge en Tunisie malgré les efforts produits par les spécialistes. C'est au cours d'une conférence de presse donnée récemment par les laboratoires Boehringer Ingelheim à Tunis, que les médecins spécialistes présents ont relevé des chiffres alarmants. En effet, des enquêtes dernièrement réalisées montrent la gravité de la situation sanitaire des patients adultes. 30,6% des Tunisiens adultes sont atteints d'hypertension artérielle (HTA) dont uniquement 38,8%, de ceux qui ont été diagnostiqués porteurs d'HTA, étaient au courant de leur diagnostic. Alors que selon ces mêmes chiffres, 84, 8% de ces personnes poursuivaient un traitement antihypertenseur. Le chamboulement socio-économique principale cause Présents en Tunisie depuis 1989, les laboratoires Boehringer Ingelheim se sont officiellement implantées en 2010 et comptent à ce jour 20 collaborateurs tunisiens dont des médecins, des vétérinaires et des pharmaciens. Les spécialistes des maladies cardiovasculaires et de l'hypertension faisant partie de cette équipe pointent du doigt l'impact de la phase transitoire par laquelle passe la Tunisie, en termes d'épidémiologie et de chamboulement socioéconomique. Ces deux facteurs font hisser les maladies cardio-métaboliques au premier rang des soucis de santé et l'une des causes premières des décès. Certes, les véritables raisons de ces maladies proviennent de la phase postrévolutionnaire que connaît la Tunisie. Il n'en demeure pas moins que, les patients en sont pour quelque chose. Outre le régime alimentaire, les spécialistes des laboratoires B.I reprochent aux patients Tunisiens cette nonchalance et ce laisser-aller face aux impacts de l'hypertension artérielle et de ses risques cardiovasculaires. Ce qui est le cas, comme ils le rappellent, à tout le monde. Ils mettent en exergue la nécessité d'une bonne gestion du risque cardio-vasculaire et la coordination multidisciplinaire qui doit devenir une obligation (cardiologues & Endocrinologues). MICARDIS, un antihypertenseur de dernière génération Œuvrant dans l'amélioration de la santé publique, par le biais de plusieurs initiatives, telles que la formation continue, organisation de congrès et de sponsoring dans le domaine de la santé, les laboratoires B.I donne la solution aux patients. Il s'agit du lancement d'un nouveau médicament de la dernière génération pour le traitement des HTA, baptisé le MICARDIS. La prise en charge de l'hypertension artérielle en Tunisie représente un défi pour un pays en voie de développement. En effet, depuis 1993, les autorités tunisiennes de santé ont échafaudé un plan national pour la prise en charge de l'HTA et du diabète. L'HTA bénéficie ainsi d'une prise en charge totale par la caisse de sécurité sociale pour les assurés et l'Etat pour les démunis. Ainsi, l'HTA suivie aux centres de soins de base et traitée est contrôlée dans 42,9% des cas. C'est aussi le cas du nouveau né des laboratoires B.I, le MICARDIS. Ce traitement est remboursé à 100% par la CNAM, et ce, pour tous les patients sujets à ces maladies cardiovasculaires chroniques. Ce médicament fait baisser la tension, bien évidemment. Mais le plus cette fois-ci, c'est qu'il veille à protèger aussi le cœur, les reins et le cerveau de tout accident cardiovasculaire. Le MICARDIS peut également être préconisé à titre préventif pour l'hypertension artérielle / cardiovasculaire globale.