C'est un bon compromis. Tiens, tu laisseras la « baballe » à ton frère pendant la matinée, et toi tu auras tout loisir de t'en servir pour jouer, pendant l'après-midi. Chacun son tour, il faut savoir partager... car, dans la vie faut pas s'en faire... Juste une question : comment ça se passe ailleurs, sous d'autres cieux, pour départager s'il y a différend et que la polémique enfle, sans qu'il y ait espoir d'en découdre, en tranchant, en toute équité, dans un sens, ou dans l'autre ? Quel joli mot la médiation, mais, juste pour ne pas mourir idiot : qui a tort, qui a raison ? En bon père de famille, le président de l'ARP a penché pour une solution de juste milieu, afin de satisfaire les deux parties. Nous voilà sortis de l'auberge ; mais côté cour ? Côté jardin ? Voilà qui mérite, très ample réflexion... Cela étant, si la sacro-sainte commission des Finances et du Développement y trouve son compte, pas de souci, pas de mouron à se faire : la fin aura justifié des moyens. Etes-vous heureux, messieurs les élus ? C'est tout de même étrange, de constater à chaque fois, qu'il ne suffit pas qu'une porte soit ouverte, ou fermée en politique, pour que les choses aillent normalement, comme une lettre à la poste, sans remous ni chaos, lors-même qu'il y a à parer à mille et une urgences, et que le pays, exsangue, n'attend pas... Que celui qui n'a jamais péché, se jette la première pierre... Maintenant que c'est fait, parons au plus pressé. Rangez la «baballe » les enfants...