L'homme d'affaires et militant Tarek Mekki qui a été victime, hier 31 décembre2012, d'une crise cardiaque, a été inhumé ce mardi 1er janvier au cimetière du Jellaz à Tunis. Le militant a eu droit au drapeau national, en reconnaissance de son passé de militant. Mais paradoxalement, il n'y avait au cimetière aucun représentant de la sphère politique, ni du gouvernement ni de nulle autre partie. A croire que Tarek Mekki était un inconnu de cette sphère ! Il y avait, par contre une présence d'hommes des medias, à l'instar de Moez Ben Gharbia ou de Borhene Bsaïes. Il faut croire, qu'à force de communiquer avec les tunisiens à travers des séquences vidéo, le défunt faisait plus figure médiatique que toute autre chose ?