Le parquet de Sousse vient d'ordonner la libération, contre paiement d'une caution de 600 DT, de la résidente en médecine qui avait été incarcérée, depuis hier, sur ordre du juge d'instruction pour « Meurtre avec préméditation, faux et usage de faux ». Cette libération fait suite à la présentation des rapports des inspecteurs du ministère de la santé publique ainsi que ceux établis par les experts désignés pour l'occasion. Ces rapports viennent, apparemment contredire la thèse avancée par les réseaux sociaux et le père du mort-né, de même que la démarche par trop « hâtive » du juge d'instruction.