L'Association des magistrats tunisiens (AMT) s'est insurgée contre " la pratique consistant à placer des gens en garde à vue en dehors des garanties légales", réclamant une enquête rapide sur les circonstances du placement en garde à vue de l'avocat Slaheddine Hajri le 4 novembre courant et quatre jours durant "par la police et sans en référer au Parquet...