A l'occasion de la conférence sur « La violence politique en Tunisie », organisée par l'Association Tunisienne d'Etudes Politiques le 8 juin dernier, M. Fadhel Moussa, doyen et membre de l'ANC est intervenu à ce sujet. Son intervention a traité du thème "Assemblée Nationale Constituante et violence verbale", où il a fait une analyse et des commentaires en deux temps. Il a rendu compte en premier lieu des cas d'échange de propos violents entre les députés lequel échange a conduit à la modification de l'article 100 du règlement intérieur. Désormais toutes "menace, insulte et diffamation ou calomnie" sont sanctionnées. La violence verbale s'exerce à l'ANC au niveau des séances plénières entre députés, ou entre députés et présidence de l'Assemblée ou encore au sein des commissions. Ensuite, il a rendu compte des cas où l'ANC est l'objet de violence verbale de l'extérieur et parfois de l'intérieur. En vidéo, le député s'exprime sur ces deux grands axes…