Le chef de la milice armée Wagner accuse l'armée russe d'avoir bombardé ses combattants dans des camps situés à l'arrière du front ukrainien du côté russe. Il appelle à la rébellion contre le commandement militaire russe. Or, les frappes russes ont causé un nombre élevé de victimes parmi les combattants de Wagner. Le ministère russe de la Défense dément les accusations et ouvre une enquête pour mutinerie, appelant les miliciens de Wagner à arrêter leur propre chef. Malgré cela, le chef de milice Prigojine affirme qu'il ira "jusqu'au bout", menaçant de détruire tout sur son passage et annonçant la prise de contrôle du QG militaire de la ville russe de Rostov.