Suite à notre dernier article d'opinion sur une formation en cybersécurité menée par l'Agence nationale de la sécurité informatique (ANSI) au bénéficie de 11 pays africains , l'un de nos lecteurs a tenu à nous signifier qu'il fallait peut-être axer la réflexion sur le travail du secteur privé en la matière, vu que c'est à celui-ci que va notre confiance nationale en matière de déploiement. Et surtout que le dossier de la formation est un sujet très ''chaud'' quand on parle de la Tunisie en tant que centre régional d'affaires et de services. Ceci sur le fond, mais notre lecteur a également à dire sur le détail. D'abord, en attirant notre attention que la session de formation dont il est question ne pouvait pas passer aussi inaperçue que cela alors que tous les médias ont été informés dès le 24 novembre! Ensuite, en témoignant que ce n'est pas la première fois... mais, en vérité, c'est la 3ème fois que des spécialistes de la sécurité informatique venant des 11 pays africains dont il est question participent à une formation au sein de l'ANSI; c'est-à-dire Maroc, Sénégal, Mauritanie, Niger, Nigeria, Cameroun, Soudan, Rwanda, Ghana, Tanzanie et Ethiopie. Tous nos remerciements à notre lecteur, aussi bien pour son regard attentif que pour sa persistance à faire parvenir sa voix.