Un ancien agent de sécurité, qui serait écarté de son poste, serait impliqué dans l'assassinat du leader de l'opposition, Chokri Belaïd. Le journal Essour rapporte dans son édition du mardi 23 avril 2013 que la « politisation » de l'affaire fait que l'enquête avance à petits pas et que la recherche de suspects se durcit de plus en plus. La même source indique que la sécurité tunisienne est capable de mener l'enquête et d'arrêter les assassins, mais il faut juste une décision politique courageuse pour le faire.