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Droit de réponse
Publié dans La Presse de Tunisie le 14 - 03 - 2011

Suite à la publication par notre journal d'un article intitulé «A La Marsa, les pions des Trabelsi toujours dans les affaires», nous avons reçu la réponse dont nous reproduisons les larges extraits suivants :
La Renaissance est une société de régime Sarl acquise par M. Mohamed Slim Ben Mansour et M. Habib Mzabi, célibataire, le 22/02/2009 d'après un acte de cession des parts daté du 22/02/2009 enregistré sous le n°9801854, quittance MO2338 en date du 25/02/2009 et paru au Jort n°32 page 1434 en date du 14/03/2009.
Je tiens à préciser dans ma réponse que la scène théâtrale citée par l'informateur est bel et bien fondée sur la théorie de la fausse victimologie, et ce, afin de me harceler pour céder les biens de ma société que j'ai acquis suite à un long trajet et un difficile parcours à l'étranger.
Le terrain objet de votre article a été acheté par la société La Renaissance dont M. Mohamed Slim Ben Mansour est le directeur général, M. Habib Mzabi associé, selon l'acte de vente rédigé par Me Omar Bejaoui et Me Skander Raach, en date du 18/04/2009, sachant que ledit terrain a été acheté avec le permis de bâtir d'un ensemble résidentiel n°119/07 en date du 04/12/2008 et approuvé le 17/12/2008, composé d'une parcelle sur laquelle serait édifié notre projet résidentiel, abstraction faite de la vieille bâtisse qui demeure une partie intégrante de la totalité de notre achat.
Nous attirons votre attention que moi Mohamed Slim Ben Mansour et mon associé M. Habib Mzabi, de hauts diplômés des universités des Etats-Unis d'Amérique en matière de management et gestion d'entreprises, cette formation académique nous a permis de tracer une stratégie d'action économique et professionnelle caractérisée par un aspect qui respecte les normes de la bonne gouvernance d'entreprise et ceci dans la transparence, la crédibilité et la dignité, facteurs opérateurs dans la réussite des entreprises économiques.
Concernant l'information relative à ladite surprise du plaignant «Moncef Berrhouma», nous vous précisons tout d'abord que le respect de la procédure légale relative à l'achat et la possession d'un immeuble exige l'émission d'un préavis aux habitants, qui sont au nombre de 5 et non de 8 familles, par le biais d'un huissier-notaire sur la base d'un acte authentique rédigé par 2 notaires en date du 20/02/2009 en présence du vendeur. La publication de ces actes conformément à la loi a été bien observée et nul ne peut prétendre ignorer la loi.
Pour le dénommé Moncef Berrhouma, qui occupe 2 appartements dans la vieille bâtisse avec son frère d'une façon illégale en dépossédant la possession du vrai propriétaire par la violence et ceci fait l'objet d'une plainte judiciaire n°92139 en date du 15/05/2010 en cours et lui-même connaît bien son statut dans cette affaire.
Ces propos injustifiés ont pour origine une cause récusatoire concernant cette personne, l'objet d'une poursuite judiciaire dans laquelle je suis la partie demanderesse et par conséquent aucun intervention de qui que ce soit n'a été engagée.
A propos dudit litige évoqué par le rédacteur depuis 2001, aucune traçabilité à nos jours nous a été communiquée ni enregistrée à la Conservation foncière ni inscrite dans le titre de propriété. Je tiens à rappeler le rédacteur de cet article que l'acte de vente d'un bien immobilier est fondé sur des investigations menées par 2 avocats qui engagent leur responsabilité civile selon la loi 1992 qui ne permet l'accès au registre foncier qu'au rédacteur, ce qui nous a permis d'obtenir un certificat net d'engagements de n'importe quel ordre que ce soit.
Concernant les événements du 11/06/2009, c'est une information erronée qui a été présentée car M. Mohamed Slim Ben Mansour a été la victime d'un acharnement et dans la légalité je me suis présenté au poste de police comme étant plaignant.
En ce qui concerne la prétendue terreur, je défie qui que ce soit de prouver ma présence sur les lieux en dehors des jours de la plainte car je dirige une société qui procède dans un circuit de projet à travers un bureau de contrôle, de pilotage et une entreprise d'exécution relatif au projet en cours ainsi une confusion dans l'esprit de l'informateur l'a poussée à qualifier notre société de société écran.
Ces dires font appel à une rigolade ignorante sur la personne, des propriétaires et associés car le processus d'achat de notre société a été réalisé selon les normes et procédures édictées par la loi et avec confirmation du paiement de la cession des parts des associés fondateurs avec publication dans le Jort et inscription au registre de commerce.
Notre société a créé des postes d'emploi qui ont atteint à ce jour près de 200 postes moyennant 7 bureaux d'études et 11 entreprises.
Aussi est-il dit pour les présumées anomalies édictées par l'auteur, ce sont les changements d'adresses régulières, de nom des propriétaires de la société puisque moi et mon associé avons acheté une société qui existait déjà et la loi relative applicable en matière de registre de commerce nous oblige d'indiquer sous peine de poursuites pénales tout changement d'informations essentielles dans la vie d'une société, s'agit-il du nom des associés, de la dénomination sociale, du capital et du siège afin d'informer le public en exercice de l'information aux tiers pour garantir la confiance publique dans les affaires et le commerce.
Pour ce qui a été évoqué au sujet du nouveau bâtiment, je tiens à préciser qu'il est construit sur une parcelle objet du titre foncier mère autre que celui du vieux bâtiment qu'occupait le plaignant illégalement et que le respect du cahier des charges a été dûment constaté. Cela est dû à une confusion dans l'esprit de l'auteur qui n'a pas compris le concept d'un rez-de-chaussée plus mezzanine+2 étages.
Une mise au point s'impose pour l'octroi de crédits‑: je tiens à rappeler à l'auteur de l'article que le processus exécutoire de l'engagement des banques dans les opérations d'emprunts, qui est selon la loi 2001 et la loi 2006 soumis au contrôle de la BCT sous la tutelle du ministère des Finances en qualité de président du Conseil national des crédits. Ces opérations s'effectuent sur la base non seulement des garanties proposées mais de l'opportunité de réalisation du projet et la valeur espérée du projet après réalisation.
Sachant que ce genre de prêts obéit à une procédure très complexe passant par la vérification des biens et le contrôle du projet et la compartimentation des versements de ces prêts selon l'avancement des travaux sous contrôle d'un comité technique émanant de la banque.
Toutefois, le chiffre d'affaires qui a été affiché par l'auteur fait allusion à notre capital figurant dans le registre de commerce alors que notre situation comptable, financière et fiscale est soumise au contrôle des autorités compétentes.
En outre, je tiens à informer le public que mon associé M. Habib Mzabi, qui est mon ami d'enfance, et camarade de classe, ayant fait ensemble le parcours de nos études universitaires aux Etats-Unis et qu'il est en situation de contrôle judiciaire et non en état d'arrestation et jouit de tous ses droits civils et n'a nullement été condamné pour quoi que ce soit et la présomption d'innocence garantie par la Constitution plaide toujours en sa faveur.
Ndlr
Certes le droit de réponse est un droit universel et on comprend le souci du Directeur général de la société «La Renaissance» de rassurer ses clients ainsi que ses partenaires suite à la publication de l'article «A la Marsa : Les pions des Trabelsi toujours dans les affaires» (publié le 23/02/2011 dans notre journal, page Société), mais nous ne comprenons pas pourquoi M. Mohamed Slim Ben Mansour, par deux fois dans sa réponse, insiste pour nous indiquer son itinéraire universitaire ainsi que celui de son associé et ami M. Habib Mzabi, comme si le fait qu'ils soient tous les deux diplômés des universités des Etats-Unis est une garantie de transparence.
D'autre part, en lisant le registre commercial de ladite société, on aimerait bien que M. Mohamed Slim Ben Mansour nous explique comment se fait-il que le nom commercial de sa société «la société La Renaissance de promotion immobilière» (écrit en arabe dans le registre commercial) se transforme en lettres latines en «Société Maâroufi de promotion immobilière» ? A notre connaissance, quand on parle d'une traduction de l'arabe vers le français, la Renaissance reste la Renaissance. Enfin, M. Mohamed Slim Ben Mansour légitime l'octroi de la BCT à sa société de deux prêts pour réaliser ce projet : le premier est de 1,920MD (le 22/04/2009) et le deuxième de 2,907 MD (le 21/10/2009) contre une garantie représentée par le terrain acheté (évalué à 2 millions de dinars) du fait qu'en Tunisie, toujours selon lui, «ces opérations s'effectuent sur la base non seulement des garanties proposées mais de l'opportunité de la réalisation du projet et la valeur espérée du projet après réalisation». Eh bien, c'est ce qu'on appelle de la spéculation, car rien ne peut garantir l'accomplissement du projet pour légitimer ces procédures. A moins que…


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