Nous avons téléphoné plusieurs fois, samedi matin, entre 9 heures et 10 heures, au service de presse de la Transtu pour avoir des données chiffrées sur la resquille dans les bus et le métro et également pour savoir si la société prévoit des solutions concrètes en vue de contrecarrer ce comportement incivique qui prend de l'ampleur ces dernières années; mais après avoir promis de nous rappeler pour nous fournir tous les renseignements demandés, les responsables de ce service nous ont posé un lapin et lorsque nous les avons recontactés à midi trente, c'est une voix féminine presque éteinte qui nous a répondu pour dire que ses collègues étaient partis pour une « urgence », dont visiblement ils ne sont pas revenus. Doit-on en conclure que le sujet ne les concernait pas, ou bien qu'il les dérangeait ? Nous attendons toujours des précisions !