Suite à la parution hier samedi 5 mars 2011 sur nos colonnes de la mise au point de M. Ridha Ayed consécutive à l'interview qu'il avait accordée et parue à notre journal le 10/2/2011, nous avons été contactés par M. Ali Hafsi le président de notre FTF se trouvant pour l'heure à Doha avec la déclaration suivante : « Je voudrais par le canal de votre très sérieux journal attester en premier lieu de la haute compétence de toute l'équipe rédactrice de votre quotidien qui n'a à aucun moment cherché la surenchère ou les scoops dénués de tout fondement. J'ai pleinement confiance en votre quotidien qui est toujours avant-gardiste et regroupe la fine fleur de nos plumes. Ma présidence de la Ligue Concernant la réponse de M. Ridha Ayed, plusieurs points méritent d'être soulignés pour éclairer l'opinion publique sur certains dossiers. Je lui rappelle qu'en 2001, il a été le premier à m'exhorter avec une ténacité et un acharnement frisant le ridicule en me suppliant de présenter ma candidature à la Ligue amateur me promettant de défendre mon dossier. Mohieddine Baccar peut en témoigner du reste. D'ailleurs lors de la cérémonie de mon intronisation officielle à la tête de cet organisme présidé par Mr Belhassen Fkih, il était présent et papillonnait de joie à presque en baver allant jusqu'à friser l'indécence. Je subviens aux besoins de 500 familles … Et Ali Hafsi de poursuivre : « Normalement les gens instruits et d'un niveau intellectuel élevé ne clament pas sur les toits à qui veut les entendre leur « niveau d'instruction » car en agissant de la sorte, ils démontrent au monde entier leur « véritable » valeur. Je lui rappelle que nous ne pouvons pas tous être avocats, juges, médecins, professeurs, etc. Cependant, je me targue d'être un homme d'affaires qui a largement réussi dans la vie et je me félicite d'assurer depuis 1988 une vie décente à 500 familles. D'ailleurs si Ridha qu'une amitié que je croyais très solide me liant à lui s'en est rendu compte par lui-même et de visu lors des visites qu'il m'a faites à Tozeur avec des séjours très hospitaliers dans mon hôtel. La première juste au lendemain de son retour du Japon en 2002… Mais étant un homme largement dépassé par les évènements, je ne peux lui en tenir rigueur. » A propos des élections de la FTF L'actuel président de l'instance fédérale a abordé les élections passées en ces termes : « Avant le début de la campagne électorale, Je lui ai proposé de faire une liste commune avec un poste de vice président. Il s'est donné trois jours de réflexion pour m'informer par la suite qu'il ferait cavalier seul assuré de la transparence de l'opération. Il a mené sa campagne dans les normes en sillonnant tout le territoire. Mais les clubs en ont décidé autrement ne lui accordant que 28% des suffrages. D'ailleurs il a été le premier à me féliciter chaudement sur place et dans la salle même me déclarant en substance que pour ces premières élections démocratiques dans notre pays depuis 1956, le plus méritant a été plébiscité. Affirmations qu'il a reproduites ultérieurement par le canal des médias écrits et audiovisuels. La convention avec la firme Burrda Autre réaction quant à la légitimité de la convention avec la firme Burrda : « Notre partenariat avec notre ex équipementier Puma se terminait le 15 septembre. Nous avons en parallèle reçu une offre très alléchante de la part de Burrda : 500 mille euros en espèces et 360 mille euros en équipements. Puma avertie de la teneur de cette offre s'est désistée du fait du classement de notre équipe nationale et de ses résultats qui n'étaient guère encourageants à cette époque. Pareil pour les firmes Adidas et Nike. D'ailleurs je défie Ridha Ayed aujourd'hui de me fournir une offre en ce sens même d'une valeur de 50% de moins que celle que nous avons réussie à parachever. J'irai même plus loin, il nous amène cette offre et je résilie à l'instant avec Burrda en lui accordant la primauté pour son dossier ! » Mes conseils à M. Ridha Ayed Et Ali Hafsi de conclure : « Je lui conseille au vu de l'amitié qui nous a liés par le passé de se consacrer désormais à sa santé et à ses petits enfants et surtout de ne point s'attaquer aux gens sans une argumentation solide et bien étayée. Diffamer, médire, descendre autrui en flammes avec autant de ressentiment, de fiel, ne cadrent plus avec son âge et ne sied nullement au statut de doctorant dont il ne cesse de se prévaloir ! ».