L'université est un établissement qui fédère essentiellement en son sein la production de la recherche et la transmission des différents domaines de la connaissance par des études supérieures. Mais malheureusement, l'enseignement ou l'encadrement dans les universités Tunisienne souffre désormais de l'insuffisance et de l'incompétence dans certain cas et certains domaines. Aujourd'hui l'université vit une situation de crise, nécessite des actions immédiates. Tous nous sommes d'accord que la plupart des diplômes universitaires sont dévalorisé. Pourquoi ? Tous simplement parce que la formation est de plus en plus faible et tend à être dépassé. Et le marché de travail ne l'est plus besoin. D'ailleurs, je me demande toujours pourquoi malgré le rétrécissement de l'espace mondiale et le développement des TIC et ces changements rapides, l'enseignement ne change pas, et ne s'améliore même pas. Pourquoi on continue à avoir une absence d'harmonie entre l'univers réel ou professionnel et l'univers de l'université. Bref, je pense que l'une des causes de base c'est que les titulaires ou les responsables de l'enseignement supérieur s'en éloigner de l'objectif central de l'université et ont allé chercher d'autre objectif tel que politique ou gouvernemental. Au lieu de chercher comment améliorer les bases de l'enseignent et l'aligner avec les attentes des étudiants et du marche de travail. Ils ont essayé de l'aligner avec les diplômes et des stratégies internationales. Aussi, plusieurs il disent que le niveau des étudiants a baisé, en général. Mais qui est coupable ici ? L'étudiant, l'enseignent ou le système (le ministère)? Franchement dit, la réponse ne saura qu'une triade. Les trois parties sont coupables. Chacun de sa position. - L'étudiant devient plus paresseux. Il fournit peu d'effort. Attend toujours des recettes prêtes et des exercices types. Les études pour lui n'est qu'une obligation ou un stade il faut le dépassé. Il cherche à réussir par n'importe quel moyen. - L'enseignent quant à lui, sauf une niche très réduite, manque de compétence, d'expérience et de méthode pédagogique. Il cherche à réduire son effort. Il souhaite même a annulé l'examen pour ne pas perdre son temp dans la correction. - Le système est fondé sur une stratégie défaillante de base. Et la contrainte majeure à son succès c'est le manque de communication. D'ailleurs, la communication dans cette triade relationnelle joue un rôle très important. En effet, nous les étudiants ont été victimes de ce problème. Durant ces dernières années par exemple, les enseignants, avec ces changements rapides qui ont été effectué, ne savent pas ce qu'ils vont étudier. Il n'y a pas de communication avec leur supérieur. La tutelle décide a leur place et leur impose à la dernière minute un cour dont ils ne voit pas même son utilité ou ne savent pas son continue. Très malheureux, mais on doit remédier à tous ces défaillances. Comment ? Par des oeillères d'un étudiant, je pense qu'on doit : - Mettre en cause tout le système - Préparer des cours de formation pour les enseignants, une sorte de mise à jour et de rafraîchissement, - Augmenter la supervision et le contrôle des enseignants surtout pour les niveaux supérieur. - Se concentrer et développer les collaborations Entreprise-Université. Cette dernière génère plusieurs avantages tant pour le marché de travail et pour l'université voire étudiant et enseignant. Et l'avantage majeur pour moi c'est de créer l'intérêt à l'étudiant. - … Et en fin, je termine à suggérer, que l'enseignement doit suivre désormais une approche épistémologique. Elle doit suivre un courant interprétativiste ou constructiviste. Et ce pour apprécier et comprendre les logiques dès le début. Et dans ce cas, le processus de création de connaissance passe par la compréhension du sens que les acteurs donnent à la réalité. Très opportunistes pour l'avenir.