Des scientifiques, qui apparemment s'ennuyaient à mort au fond de leur labo, ont démontré que la mémoire du cafard ne se déclenche que le soir. Ça n'a rien à voir avec l'état d'âme traduit par l'expression "avoir le cafard". Même cette histoire de "soir" n'est que pure coïncidence. Et pourtant, ça peut expliquer l'inefficacité déplorable des insecticides et plus spécialement ceux qui sont destinés à étouffer la bestiole sinon à la chasser de chez nous. Là aussi, les chercheurs en insecticides doivent s'ennuyer au-delà de l'expression "avoir le cafard". Pourquoi ? Tout simplement parce qu'ils ont dû les tester un peu tard (après les pauses-café, etc.) Car la bestiole, une fois "arrosée" s'en souvient bien !