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Actualités économiques et financières internationales : La fragilité de la reprise
Publié dans L'expert le 27 - 07 - 2010

La confiance en la reprise n'est pas encore là. Selon une étude Euler Hermes, la reprise mondiale à atteint un pic et l'Europe est à la traîne. La Banque des règlements internationaux estime urgent d'en finir avec les mesures de crise. Elle s'inquiète du maintien de taux d'intérêt artificiellement bas, qui créent de nouveaux risques. Depuis que la Chine a défait le lien fixe de sa monnaie avec le dollar, l'envolée escomptée du yuan n'a pas eu lieu. Pékin ne peut pas se permettre une appréciation trop brutale de sa devise. La BCE annonce son intention d'absorber 55 milliards d'euros de liquidités pour éviter que ses achats d'obligations publiques ne présentent des risques inflationnistes. Pour sa part, la Banque Centrale Suisse subit d'importantes pertes de son histoire sur le marché des changes. En Chine, la Banque centrale pense accélérer la réforme de la fixation du taux de change du Renminbi.
Une morosité présente
Ayant appris à gérer au jour le jour la situation de crise, en réalisant pour certains de vrais sacrifices, les nations commencent à voir le bout du tunnel. Les pouvoirs d'achats et niveaux de vie se stabilisent, même si les inquiétudes sur l'avenir restent présentes avec une certaine acuité. Le chômage, le sentiment de pauvreté, la crainte sur la dégradation du pouvoir d'achat restent des sujets à débattre.
La crise a engendré une modification des comportements des consommateurs au quotidien : plus d'arbitrages, une attention plus marquée à son pouvoir d'achat, l'envie de maîtriser son budget, des achats plus réfléchis et moins impulsifs, une plus grande sensibilité aux promotions… Il s'agit donc de dépenser moins, avec une logique à court terme, et une dimension plaisir en retrait.
Selon Euler Hermes, la reprise à atteint un pic
La reprise économique mondiale, amorcée au printemps 2009, a probablement déjà atteint un pic et l'Europe risque de rester durablement affectée par la crise avec une croissance faible, estime l'assureur-crédit Euler Hermes dans une étude publiée fin juin.
Le rebond est bien là et l'économie est repartie dans le monde avec un rythme de croissance mondiales proche de celui enregistré avant la crise mais "on est déjà en train d'atteindre, voire de dépasser un pic de croissance lié à la reprise", a souligné Karine Berger, chef économiste d'Euler Hermes, en présentant l'étude à la presse.
Ainsi, des freins commencent à se faire jour, notamment à cause d'un fléchissement du soutien apporté par les plans de relance.
En Asie, des prix immobiliers très élevés ou une forte inflation en Inde, devraient peser.
Aux Etats-Unis, l'accélération est aussi proche de son maximum, selon Euler Hermes.
Mais la situation est plus problématique pour la zone euro, a souligné l'assureur-crédit.
Ainsi, "l'Europe sera la seule zone durablement touchée par la crise avec un impact sur sa croissance potentielle", a précisé Karine Berger.
L'assureur-crédit s'attend à une croissance mondiale de 3,3% en 2010 puis 2,9% en 2011. Mais la croissance dans la zone euro devrait être de seulement 0,8% et 0,9% en 2010 et 2011.
Au sein de cette zone, des pays comme l'Allemagne et la France devraient voir leur croissance progresser doucement, alors que les pays du bassin méditerranéen ne reviendraient pas à leurs niveaux d'avant la crise, selon l'assureur-crédit.
A l'exception de l'Espagne et l'Allemagne, les pays européens ont annoncé des plans de consolidation budgétaires plus importants que leurs plans de relance, relève Euler-Hermes. "Prendre dès maintenant des décisions d'ajustement budgétaire, alors que la zone euro est en phase de très faible reprise, ne peut être que négatif pour la croissance", a estimé Karine Berger.
En conséquence, l'assureur-crédit s'attend à un niveau élevé de défaillances d'entreprises jusqu'en 2011, surtout en Europe du Sud.
Le système financier reste très fragile
La Banque des règlements internationaux estime urgent d'en finir avec les mesures de crise. Elle s'inquiète du maintien de taux d'intérêt artificiellement bas, qui créent de nouveaux risques.
À Toronto, les 26 et 27 juin dernier, les membres du G20 ont constaté la fragilité de la reprise. À Bâle, le «club» des banquiers centraux met en garde contre une «rechute». Trois ans après le début de la crise financière, la possibilité d'une conjoncture en forme de W, que les gouvernements ont à toute force tenté d'éviter, est une hypothèse qui prend corps. Pour contrer ce scénario noir, les avis divergent sur les mesures à prendre, comme l'a révélé le G20, où certains chefs d'Etat et de gouvernement ont insisté sur la nécessité de prolonger les outils de relance. Les banquiers centraux ont manifestement un avis différent.
«Par leur durée, les programmes exceptionnels créent aujourd'hui de sérieux problèmes», indique la Banque des règlements internationaux (BRI) dans son rapport. Cette somme de plus de cent pages ne lésine pas sur l'emploi du mot «urgence»: les membres de la BRI considèrent que les pays développés ne peuvent plus attendre le retour de la croissance pour ensuite revenir à des politiques budgétaires et monétaires classiques. Ils constatent la «trajectoire intenable» dans laquelle sont d'ores et déjà engagées les finances publiques de plusieurs grands pays. Ce sera «douloureux», mais «l'effort s'impose d'urgence» sous deux formes: coupes immédiates dans les déficits et réformes structurelles crédibles.
Le club de Bâle rappelle que l'enjeu d'un assainissement des finances publiques n'est pas cosmétique: il s'agit tout simplement de restaurer des marges de manœuvre qui existaient en 2008 quand la crise financière a éclaté, et qui aujourd'hui n'existent plus.
Une « fragilité » persistante
La BRI insiste par ailleurs sur les risques créés par les politiques mises en œuvre depuis deux ans. De la même façon que l'eau utilisée pour éteindre un incendie crée parfois autant de dégâts que le feu lui-même, les politiques monétaires qui maintiennent durablement les taux d'intérêt à des niveaux artificiellement bas peuvent être dangereuses. Le message est d'autant plus fort qu'il provient de banquiers centraux, et d'une institution, la BRI, dont les mises en garde en 2006 et 2007 avaient trouvé trop peu d'écho. La BRI rappelle sans détour que c'est bien, «il y a cinq ans à peine», l'univers de taux bas qui a favorisé la «frénésie financière». Aujourd'hui, elle souligne que les taux pratiqués faussent les décisions d'investissement et la perception des risques, et «retardent» le nécessaire assainissement des bilans du système bancaire. «Plus les taux directeurs sont maintenus à un très bas niveau, plus les effets secondaires s'additionnent», souligne encore le rapport.
Le document n'est guère plus réjouissant sur le front de la santé du système bancaire. Certes, presque autant d'argent a été injecté - 1236 milliards de dollars - qu'il en a été perdu par le système - 1306 milliards. Mais ces travaux de restauration masquent à peine une «fragilité» persistante. La BRI s'inquiète en particulier de l'exposition des banques au risque du secteur de l'immobilier commercial. Elle souligne aussi que toute la lumière n'a pas été faite, loin de là, sur l'état des actifs bancaires. Enfin, au lendemain d'un mois de mai périlleux pour le système, chahuté par la crise grecque, la BRI relève les «importants besoins en capitaux» des groupes financiers qui pourraient «éprouver des difficultés» à lever les fonds nécessaires, en particuliers quand ceux-ci sont libellés en dollars.
Là encore, les taux bas jouent leur rôle, entretenant une illusion de retour aux profits, tandis que les politiques exceptionnelles des banques centrales permettent aux canards boiteux de se refinancer. Le risque, c'est de «maintenir en vie des entreprises moribondes», des «zombies» selon le texte original en anglais. Un scénario qui rappelle le Japon des années 1990.
Pour ce qui concerne le secteur bancaire, la BRI apporte des réponses, sous forme d'une régulation beaucoup plus étroite. Prêchant logiquement pour sa paroisse, la BRI défend en creux les règles prudentielles («Bâle 3») qu'elle a soumises à la consultation et qui font bondir les banques. À quinze jours de la publication de ces textes, le club de Bâle souligne, chiffres et courbes à l'appui, que des exigences plus grandes en termes de capitaux propres sont le gage non seulement d'une plus grande sécurité pour l'ensemble du système, mais peuvent aussi être celui d'une rentabilité supérieure.
Le message à l'intention des gouvernements se conclut lui aussi sur une note d'optimisme: «Un engagement crédible en vue de réduire ou d'éliminer les déficits budgétaires (…) finira par s'avérer payant», promet le rapport. L'impact à court terme sur la croissance «sera largement compensé par les avantages plus durables». Parole de banquier central…
Pékin face au délicat pilotage du yuan
Pékin a fait l'objet de nouvelles pressions de ses grands partenaires lors du sommet du G20 à Toronto, notamment de la part des Etats-Unis, par la voix de Barack Obama, qui l'a appelée à «prendre au sérieux» son engagement de laisser s'apprécier sa monnaie. La Banque centrale a du coup lâché un peu de lest lundi, et décidé d'un cours pivot de 6,789 yuans contre le dollar, contre 6,7896 yuans pour un dollar vendredi. Le gain est très modeste, mais porte tout de même le yuan a son niveau le plus élevé par rapport au billet vert depuis la réforme du système chinois de taux de change de juillet 2005, qui l'avait désarrimé du dollar pour l'adosser à un panier de devises.
Il ne faut toutefois pas attendre d'envolée de la devise chinoise, car Pékin, qui doit faire face à des objectifs contradictoires, devrait poursuivre son pilotage fin du renminbi dans les mois à venir.
La BCE veut drainer 55 milliards d'euros après ses achats obligataires
La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé lundi son intention d'absorber 55 milliards d'euros de liquidités pour éviter que ses achats d'obligations publiques ne présentent des risques inflationnistes.
Le résultat de l'opération sur 7 jours, assortie d'un taux variable mais limité à 1% maximum, sera annoncé mardi, selon un communiqué.
La semaine dernière, la BCE avait absorbé 51 milliards d'euros. Une nouvelle opération de ce type aura lieu la semaine prochaine, a annoncé l'institution monétaire, ce qui signifie que ses achats d'obligations publiques continuent.
La BCE a lancé en mai un programme inédit d'achats d'obligations publiques afin de faciliter le retour à un bon fonctionnement de ce marché clé pour le refinancement des Etats, qui souffre de la perte de confiance des investisseurs dans les finances publiques de certains pays de la zone euro.
La BCE a également annoncé lundi son opération de refinancement sur une semaine, à volume illimité et au taux fixe de 1%, dont le résultat sera connu lui aussi mardi.
Les montants alloués lors de cette opération de routine et surtout lors d'une opération sur 3 mois prévue mercredi pourraient être très élevés, selon les économistes.
Car les banques installées en zone euro, actuellement réticentes à se prêter entre elles, doivent rembourser jeudi à la BCE un prêt géant de 442 milliards d'euros, alloué l'an dernier lors d'une opération exceptionnelle sur un an.
Pour y parvenir, les banques pourraient ainsi massivement recourir aux opérations de refinancement de la BCE avant l'échéance de jeudi.
La Banque Centrale Suisse dans la cour des nains !
Le cours de l'Euro vis-à-vis de la monnaie Helvétique a donc atteint à 1.35 un record de baisse en clôture de marché vendredi dernier, véritable tour de force accompli par le Franc Suisse dans un contexte de raffermissement de l'Euro par rapport à toutes les autres devises puisqu'il a connu sa meilleure quinzaine depuis Septembre 2009 !
Il est vrai que, lors de son accession à la Présidence de la Banque Centrale en ce début d'année 2010, Philippe Hildebrand avait hérité d'une longue tradition de lutte contre la fermeté endémique de la monnaie Helvétique, politique qu'il poursuivit évidemment tant et si bien que la Banque Nationale Suisse est actuellement en train de subir les plus importantes pertes de son histoire sur le marché des Changes ! A l'appui de cet activisme forcené, le patron de la BNS mettait constamment en exergue sa priorité qui était la lutte contre le spectre de la déflation qui menaçait l'économie Suisse. C'est ainsi qu'au fil de ces interventions répétitives et massives, le communiqué de la BNS égrenait de manière Pavlovienne un refrain à chaque fois identique réaffirmant qu'elle lutterait avec détermination contre l'appréciation d'une devise annonciatrice de déflation…
En réalité, cette déflation qui devait être combattue à tous prix fut également l'occasion d'un dérapage quasiment incontrôlé de la part de Philippe Hildebrand et de ses équipes ! Dotée de réserves en devises de 230 milliards de Francs Suisses, soit la moitié du P.I.B. du pays, la BNS – après avoir reconnu une ardoise de 3 milliards de Francs Suisses en Mars dernier – devrait avoir subi en Juin dernier une perte cumulée de 8.5 milliards de Francs Suisses du fait de ces interventions entêtées à coups de 50 milliards d'Euros !
La banque centrale chinoise va accélérer la réforme de la fixation du taux de change du Renminbi

La Banque populaire de Chine (banque centrale) a décidé d'accélérer la réforme du système de fixation du taux de change du Renminbi pour améliorer sa flexibilité, a déclaré un porte-parole de la banque centrale.
La banque centrale a pris cette décision en considération de la récente situation économique et du développement du marché financier en Chine et à l'étranger, ainsi que de la balance des paiements dans le pays, a précisé le porte-parole dans un communiqué.
La réforme devra mettre l'accent sur la prise en compte de l'offre et de la demande du marché de même que la référence à un panier de monnaies. Les marges de fluctuation du taux de change resteront les mêmes que celles déjà pratiquées sur le marché interbancaire, a ajouté le porte-parole.
Selon lui, le commerce international de la Chine est devenu plus équilibré. En 2009 le ratio de l'excédent commercial sur le produit intérieur brut (PIB) a diminué de façon notable et depuis le début 2010 il a continué à décliner.
"Avec une balance des paiements devenant de plus en plus équilibrée, les raisons d'une appréciation de grande envergure du taux de change du RMB n'existent pas", a-t-il indiqué.
La Banque centrale va permettre au marché de jouer un rôle plus fondamental dans la distribution des ressources, va agir pour que la balance des paiements soit plus équilibrée et va maintenir le taux de change du RMB stable à un niveau adaptable mais équilibré pour réaliser la stabilité macroéconomique et financière en Chine, a souligné le porte-parole.
La Chine applique depuis le 1er juillet 2005 un système de taux de change flottant basé sur l'offre et la demande du marché en référence à un panier de devises.
Depuis 2005 ce système de fixation du taux de change du RMB a été progressivement étendu et a joué un rôle positif en donnant les résultats anticipés, a indiqué le porte-parole.
Au pire moment des crises financières qui ont secoué le monde financier international, le taux de change de plusieurs devises importantes s'est déprécié de façons différentes vis-à-vis du dollar américain.
"La stabilité du taux de change du RMB a joué un rôle important dans la réduction des répercussions de la crise, ce qui a contribué de façon significative au redressement en Asie et dans le monde entier et démontré les efforts de la Chine pour rééquilibrer l'économie mondiale", a ajouté le porte-parole.
Avec le redressement graduel de l'économie internationale, l'économie chinoise s'est améliorée et est devenue plus solide grâce à une stabilité économique renforcée, ce qui permet de faire davantage de réformes sur le système de fixation du taux de change du RMB et d'améliorer sa flexibilité, a-t-il indiqué.
Dossier réalisé par Raoul FONE


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