L'enquête sur l'affaire d'espionnage russe en Tunisie a montré que les deux diplomates à savoir, Michael Salikov et Kayamran Rasim Ogly Ragimov sont soupçonnés d'avoir recruté des tunisiens travaillant aux centres d'état civil. Mais ont été libérés vu qu'ils bénéficient d'immunité diplomatiques, a rapporté radio Mosaïque FM. Par contre, des mandats de dépôt ont été émis à l'encontre de leurs quatre collaborateurs tunisiens, ajoute-t-on de même source.