Invité de Shems Fm, l'avocat de Ahmed Friaa, Sayah Lourimi, a déclaré qu'il avait cette impression de ne pas faire preuve d'un système judiciaire équitable. Lourimi a ajouté que les critères d'un jugement équitable n'ont pas fait partie de cette affaire, surtout que nous ne savons pas encore si les sentences de ces affaires de l'IVD acceptent l'appel ou non, dit-il. Par ailleurs, il a expliqué avoir des réserves sur L'IVD et ses méthodes de travail même si le processus de transition démocratique qu'elle adopte est nécessaire et même primordial pour la Tunisie. Il y a tout de même des prétentions et des initiatives de cette instance qui dépassent la période de prérogatives fixée ultérieurement à la création de l'instance, déclare l'avocat de Friaa. La journaliset de Shems Fm a demandé à l'avocat pourquoi il n'y pas eu de publication dans le journal officiel qui confirme l'arrêt d'activité de l'Instance de la vérité et de la dignité. Me Lourimi a omis de dire que les publications de négation c'est-à-dire d'annulation et d'interdiction ne sont jamais publiées dans le journal.