A la deuxième soirée du Tabarka Jazz Festival, samedi 7 août 2010, la Basilique a témoigné la venue d'une légende vivante du Jazz, Roy Ayers, qui a fait glisser le Jazz, depuis les années 70, vers le funk avec sa musique samplée. A la deuxième soirée du Tabarka Jazz Festival, samedi 7 août 2010, la Basilique a témoigné la venue d'une légende vivante du Jazz, Roy Ayers, qui a fait glisser le Jazz, depuis les années 70, vers le funk avec sa musique samplée. Plus nombreux que la soirée du vendredi, les présents ont savouré la musique Soul et Jazz de Roy. Figure très emblématique d'une fusion réussie entre jazz et soul, l'artiste est une sorte d'intouchable parrain de l'acid jazz qui a traversé les décennies avec classe. Au micro ou derrière son vibraphone, il a émerveillé le public par sa maitrise d'un groove pluriel. Deux morceaux phares ont marqué la soirée "Everybody loves The Sunshine", le tube planétaire de Ayers, vendu à plus de trois millions d'exemplaires, et « A night in Tunisia » qu'on qualifie comme l'un des plus grands classiques du Jazz composé par Dizzy Gillespie lors d'un passage à la reine du Jazz, Tabarka.