Cela se passe dans une ville et un pays qui doivent leur nom et leur localisation à l'âge d'or du monde arabe ; car Lisboa est une contraction des 7 collines al asboua- qui entourent la ville, et le Portugal au nom bien arabe- est une sous région d'Espagne qui peut-être vient du mot Isbillia. Et ces sommets entre les 2 continents, j'avoue être sceptique : quand quelqu'un qui fait 30.000 DT de revenu par capita rencontre quelqu'un qui est à moins de 300, je me demande de quoi ils peuvent bien parler. Car entre les 2 il y a plus qu'un gouffre, c'est un abîme et les Américains parlent de gap, et moi je me dis quand est-ce que les uns et les autres vont comprendre que cela ne peut pas continuer et que lorsqu'on me parle de mondialisation, je rigole en douce surtout devant ces écarts. A priori tout le monde ou presque est allé dépenser son fric dans les pays où le revenu dépasse les 30.000 $ par habitant, mais je ne sais pas si certains de mes lecteurs sont allés dans des pays et des régions où on est à moins de 300$ par habitant et par an, cela est kafkaïen et relève de l'inimaginable, pourtant dans ces pays il y a toutes les ONG possibles et imaginables, il y a les financements de tout ce qu'on peut imaginer à des taux parfois nuls, des dons, et ça n'avance pas. Alors je me demande si la misère n'est pas une fatalité, et j'aimerais qu'on m'explique, car la corruption, le gaspillage et tout ce qu'on peut imaginer n'explique pas tout. Je reste impuissante devant ce Cfa lié à vie à un euro dont il subit les effets, à ces pays où on trouve tous les fruits de la terre mais qui importent tout ou presque, à ces pays découpés par une colonisation sans état d'âmes, à des pays sans route, sans eau ni électricité...
Alors que faut-il faire ? Si vous avez des réponses, j'aimerais les avoir mes chers lecteurs et lectrices et aussi votre avis sur la question qui me turlupine ..