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OMS : nouvel instrument de censure mondiale ?
Publié dans Business News le 14 - 08 - 2023

La nouvelle collaboration pour lutter contre les épidémies est appelée « Collaboration Mondiale » ou « Global Collaboration ». Son objectif est double : 1) garantir l'accès aux instruments de lutte contre la Covid-19 (Access to Covid-19 Tools (ACT) et 2) accélérer l'accès au système d'accès Mondial aux vaccins Covid-19 plus connu sous système COVAX. Cette collaboration implique quatre sphères de décision et d'action. La première, est la sphère du secteur public (allant du niveau mondial à celui régional, puis national pour finir au local). Elle réunit, les Nations-Unies (OMS et Unicef), la Banque Mondiale, les organisations régionales (Union Européenne) et les gouvernements nationaux et locaux. La deuxième, est la sphère des ONG qui réunit Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), Global Alliance for Vaccines and Immunization (GAVI) et Global Fund. La troisième, est la sphère des organisations philanthropiques (Fondation Bill & Melinda Gates et Wellcome Trust). La quatrième, est la sphère de l'industrie biopharmaceutique qui regroupe Oxford-AstraZeneca, Janssen/Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer-BioNTech, Novavax et Sanofi-GSK.
Cette Collaboration Mondiale est marquée d'abord par les conflits d'intérêts et par les risques de délit d'initié. Les Gates sont par exemple, ont donné 750 millions de dollars pour fonder GAVI en 1999. La fondation Gates a acheté en septembre 2019, soit 3 mois avant le début de la pandémie, plus de 1 million d'actions de BioNTech (1 038 674) pour 18.1 dollars l'action. Au troisième trimestre de 2021, au meilleur de la performance boursière de BioNTech, la Fondation Gates a vendu 86% de ses actions à un prix moyen de 300 dollars par action pour ne laisser que 148 674 actions. Le résultat de cette opération des Gates est un bénéfice de 260 millions de dollars, soit plus de 15 fois l'investissement de départ. La Fondation Gates a vendu en plus, 2 millions d'actions au troisième trimestre de 2021 et 1.4 million d'actions détenues dans CureVac réalisant plus de 50 millions de dollars. On peut reproduire ce montage financier sur la plupart des autres acteurs.
Le fer de lance scientifique de cette entente, qui a déployé son réseau de scientifiques chouchoutés par l'industrie pharmaceutique, Anthony Fauci, a gagné plus de 300 millions de dollars durant les trois années de « pandémie ». L'institut qu'il dirigeait (National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID)) a reçu pour sa part plus de 400 millions de dollars de la part de Moderna.
Ce type d'information dérange et sape la confiance du public dans leurs gouvernements et dans l'ensemble des acteurs de cette collaboration internationale et spécialement dans l'OMS.

Après le rejet par plusieurs parlementaires des autres versions du nouveau traité pandémique « The Pandemic Treaty », qui négligeaient la souveraineté nationale et supprimaient les droits fondamentaux humains, une nouvelle version datée du 2 juin 2023 (A/INB/5/6) produite par WHO CA+ a été diffusée. Elle reprend la notion d'infodémie, tant chère aux alliés de l'OMS dans le projet de Collaboration Mondiale. L'article premier de cette nouvelle version précise une définition de l'OMS du terme "infodémie" qui est « un excès d'informations, y compris d'informations fausses ou trompeuses, dans les environnements numériques et physiques lors d'une épidémie. Elle est source de confusion et de comportements à risque qui peuvent nuire à la santé. Elle entraîne également une méfiance à l'égard des autorités sanitaires et nuit à la réaction de la santé publique. »
L'article 18 de cette nouvelle version, intitulé « Communication et sensibilisation du public » appelle les Etats-Membres à combattre cette « infodémie » en promulguant des lois et des sanctions, contre les personnes morales et physiques qui commettent des infractions pouvant être classées comme « infodémies ». Il appelle aussi les Etats-Membres à promouvoir des programmes d'éducation et de sensibilisation du public aux pandémies et à leurs effets, d'une manière largement accessible. Ce qui signifie que les Etats auront l'obligation de le faire et peuvent être redevables envers l'OMS aux risques de sanctions. Cet élément est une menace pour la notion de souveraineté nationale, pour abus de liberté d'expression pouvant être garantie par un Etat à ses citoyens.

Ainsi, un ensemble de questions s'impose : qui protègera les Etats et leurs populations des actes d'infodémie et de propagande commis par l'OMS et ses partenaires ? Qui protègera les Etats et leurs populations des erreurs et de la vulnérabilité à la corruption des experts et des dirigeants de l'OMS et des conflits d'intérêts qui les entacheraient ? Qui assurera l'indemnisation des victimes de l'infodémie commise par les experts et les dirigeants de l'OMS ? Qui assurera l'indemnisation des victimes des vaccins promus par l'OMS ? Qui assurera la compensation des surcoûts publics sanitaires et socioéconomiques, induits par les effets indésirables de ces vaccins dont l'OMS fait l'éloge, la promotion et la distribution d'une manière ou d'une autre ?
Jean Rostand disait que « l'obligation de subir nous donne le droit de savoir ».
Plusieurs signaux nous alertent quant aux risques d'accorder certains supers pouvoirs à une organisation internationale. Le premier signal d'alerte, c'est le système de gouvernance de l'organisation en question. Pour le cas de l'OMS, l'exécutif est assuré par 34 personnes élues intuitu personae pour trois ans. Le terme « intuitu personæ » signifie « en fonction de la personne ». Ce terme est notamment utilisé en droit pour qualifier une relation, existant entre deux personnes qui ne peut pas être transposée à d'autres personnes. Ce qui veut dire que les pouvoirs conférés à cet exécutif, ne peuvent pas être transposés à d'autres personnes et qu'ils sont engageants pour l'OMS et les Etats-Membres. Une minorité décide, les autres subissent. Ce qui entraîne des conséquences directes sur la préqualification des médicaments des laboratoires pharmaceutiques (les vaccins russes n'ont pas été reconnus, par exemple), et sur l'élaboration de la liste des médicaments essentiels et les politiques pharmaceutiques de ses Etats-Membres.
Le deuxième signal d'alerte est matérialisé par le financement de l'OMS. On sait que celui qui finance gouverne et celui qui demande des financements perd son indépendance et sa souveraineté. Normalement, l'OMS est redevable uniquement par rapport aux Etat-Membres constituants qui libèrent leurs contributions. Or, le financement de l'OMS est assuré majoritairement par les fondations des très grandes fortunes. Napoléon écrivait :« Lorsqu'un gouvernement [ce qui est le cas de l'OMS et ses cent quatre-vingt-quatorze pays membres] est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit l'argent, n'a pas de patrie, les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence, leur unique objectif est le gain. » A une différence près, Napoléon avait raison, sauf quand il disait que les financiers n'ont pas de patriotisme. La nuance c'est que les très grandes fortunes revendiquent le monde entier comme propriété privée. C'est pour cela qu'ils sont qualifiés de globalistes. L'OMS serait donc, vulnérable aux influences des donateurs et des pays riches, aurait une politique de ses donateurs et ne pourrait pas être indépendante. Peut-on lui accorder autant de pouvoir sans risques?
Le troisième signal d'alerte nous vient des échecs et des défaillances passées durant les trois dernières décennies, dans la réponse de l'OMS et de la communauté internationale.
Il y a d'abord, la tentative de classement de la Norfenfluramine rebaptisée Benfluorex (Mediator), et ses isomères (fenfluramine), dans une nouvelle classe thérapeutique afin de brouiller toutes les pistes avec la famille originelle des amphétamines. C'était grâce à la vigilance de Gilles Bardelay, valeureux pharmacien fondateur de la Revue Prescrire et du Pr Silvio Garattini éminent pharmacologue à la tête de l'Institut Mario Negri, qui se sont opposés à cette falsification technico-médico-académique et qui ont sensibilisé les responsables de l'OMS, qui ont fini par ne pas modifier cette nomenclature malgré le lobbying pharmaceutique ultrapuissant. Mais cela n'a pas empêché la mise sur le marché mondial de ces amphétamines, qui étaient autorisées sur un fond d'escroquerie que le Tribunal de Grande Instance de Nanterre a condamné pour « tromperie aggravée sur la nature, la qualité substantielle et la composition du produit », « mise en danger de la vie d'autrui », « administration de substance nuisible » et « homicide involontaire ».
Ensuite, il y a le lancement de fausses alertes lors de la pandémie artificielle de grippe H1N1 en 2009 portées et alimentées par les conflits d'intérêts des principaux conseillers de l'OMS de l'époque et par les perspectives de création de nouveaux marchés pour l'industrie du médicament. En effet, l'industrie pharmaceutique a nommé d'une part, James Murdoch le fils du grand patron des médias Rupert Murdoch au Conseil d'Administration de GlaxoSmithKline, le fabricant du vaccin antigrippal RELENZA®. D'autre part, elle a placé des experts, dont elle est proche dans les commissions de l'OMS, qui était chargée d'établir les normes.
Ce même modus operandi a été reproduit en 2019 puisque les médias du mainstream ont repris leur effet tam-tam. Le Directeur de Thomson Reuters qui fournit l'information au monde entier, James Smith a intégré à la fois le Conseil International des Affaires du Forum Economique Mondial et le Conseil d'Administration de Pfizer. Quant aux experts désignés au niveau des gouvernements et de l'OMS, ils étaient tous très près de l'industrie pharmaceutique, voire des anciens responsables de laboratoires qui ont rejoint la sphère publique par le système de « Revolving Doors ». Ce qui a permis à l'industrie pharmaceutique de redéfinir la maladie.
Dix ans après (2019), on se retrouve dans la même situation de capture/captation de l'OMS par l'industrie pharmaceutique. D'abord, pourquoi a-t-on classé la Covid-19 comme une maladie émergente ? Le terme maladie émergente signifie que le virus SRAS-CoV-2, « récemment découvert » est hautement mortel, alors que ce virus donne des symptômes bénins dans plus de 50% des cas et que des fragments de ses séquences ont été découvertes en arctique dès décembre 2018 et janvier 2019. Ce qui est contradictoire au narratif de l'OMS. L'analyse d'échantillons de sang en Italie montre la présence d'anticorps spécifiques au SRAS-CoV-2 dès septembre 2019. Le terme « virus émergent » du SRAS-CoV-2 signifie aussi qu'il est différent des autres coronavirus connus (SRAS-CoV et MERS). Or, ces trois virus semblaient partager 79.5% de l'identité séquentielle. Ce qui montre une certaine stabilité sur une période de 20 ans puisque la variation ne touche que 20.5% de leurs patrimoines génétiques. Au mois de janvier 2020, plus de 50% de la population mondiale était immune contre la Covid ce qui devait être pris en considération par l'OMS, les gouvernements et les médias. Les estimations de l'OMS vont dans le même sens que ce délire pandémique où la proportion de létalité du SRAS-CoV-2 notée IFR Infection Fatality Ratio (IFR= ) était de 0.23% alors que l'IFR réel était inférieur à 0.15% et n'était que de 0.07% pour les personnes âgées de moins de 70 ans. D'où l'incohérence des directives de l'OMS. Ce qui a obligé les chercheurs qui collaborent avec l'OMS à reconnaitre leurs erreurs de surestimation de la mortalité en Allemagne et Suède.
Résultat, tout était erroné, même les mesures arbitraires qu'ils ont mises en place et qui ont amplifié la mortalité directe et indirecte, ont ouvert la voie à la vaccination obligatoire en pleine période de pandémie, déguisée par le passe vaccinal, et a généré de nouveaux mutants. Alors que les recommandations des virologues étaient d'éviter de vacciner durant une pandémie afin de réduire au minimum le risque de mutations virales.

Le SRAS-CoV-2 n'était pas émergent. Il était donc, impossible qu'il ait causé un excès de mortalité en 2020. En revanche, la mortalité suivait les campagnes massives de la vaccination Covid. Les différentes bases de données y compris celles gouvernementales (Grande Bretagne, Suède, Allemagne, John Hopkins University), toutes sont concordantes avec ce constat. Un vaccin qui n'arrête pas la transmission du virus restera comme une énormité, dans les annales de la vaccinologie. Quand le pot aux roses était découvert, ils ont avancé une autre thèse : « le vaccin permettait de réduire la gravité de la maladie ». Malheureusement, même cet argument inventé de toute pièce n'était pas soutenu par les preuves scientifiques et n'était pas sérieux pour deux raisons : 1) les essais cliniques qui ont servi pour autoriser ces vaccins en urgence sanitaire n'ont pas été conçus pour démontrer une quelconque diminution du risque d'hospitalisation et 2) le rythme d'hospitalisations suivait celui de la vaccination.
Par ailleurs, l'OMS a aussi fermé les yeux quand la FDA a assimilé les patients traités par l'ivermectine à des animaux « You are not a horse to take ivermectine » alors que des centaines de millions d'êtres humains ont été et sont encore traités par l'ivermectine. On a même bloqué durant trois ans la publication d'une étude menée dans 25 états du Pérou démontrant l'efficacité de l'ivermectine.
Ceci semble normal puisque les mêmes investisseurs possèdent le groupe RELX qui a racheté les revues médicales les plus prestigieuses y compris The Lancet. L'éditorialiste de The Lancet Dr Richard Horton est le porte-drapeau de « la Santé Mondiale » ou « Global Health ». Ce qui explique comment une si prestigieuse revue médicale puisse publier un article frauduleux qui a permis d'interdire l'utilisation de l'hydroxychloroquine, de placer le Paxlovid de Gilead Pharma comme alternative, dont 1 million de boîtes ont été vendues dans la foulée à l'Union Européenne et a forcé le recours à la vaccination. L'autorisation pour usage en urgence sanitaire était compromise s'il y avait un seul médicament efficace contre la maladie de la Covid. C'est pour cette raison que l'on a banni l'hydroxychloroquine, l'ivermectine et le clofoctol. Malgré le scandale du « Lancetgate » et la rétraction de cet article frauduleux signé par une stripteaseuse qui travaille pour Surgisphere, les dispositions qu'il a générées restent encore en vigueur, à ce jour.
Mais la question qui nous tourmente le plus, concerne la raison pour laquelle l'OMS aurait fermé les yeux et aurait autorisé Pfizer à fabriquer des lots exclusifs pour son personnel. Il se trouve, qu'aucun des lots réservés n'ait donné une seule mort. Donc, les produits de ces lots étaient nettement moins toxiques et différents de ceux qui étaient destinés au public. Ce qui anéantit le principe d'égalité comme fondement démocratique.
L'on se demande aussi pourquoi l'OMS a-t-elle couvert tous ces mensonges ? Pourquoi elle n'a pas alerté l'opinion publique mondiale ? Pourquoi les a-t-elle cautionnés ? Sur la base de ces données il légitime de se poser la question suivante : qui diffuse de l'infodémie ? L'OMS ?

Enfin, il y a le programme promu par l'OMS pour lutter contre la vulnérabilité à la corruption dans le secteur pharmaceutique public (GGMP) qui était voué à l'échec malgré les améliorations de transparence, de gouvernance et de redevabilité, car il visait principalement l'adaptation de la bureaucratie pharmaceutique aux doléances de BigPharma sans aucune action sur la falsification scientifique médicale qui est à l'origine de tous les maux du système médico-pharmaceutique. Même, le programme rival du PNUD, autre organisation de l'ONU, qui est fondé sur la construction des ilots d'intégrité, s'avère aussi sans grande efficacité dans le secteur sanitaire. La raison est simple : la corruption des informations pharmaceutiques produites par l'industrie pharmaceutique est de loin supérieure à la corruption bureaucratique. En fait, on est dans une situation de tromperie systémique aggravée, de blanchiment d'information, d'escroquerie et de trafic d'influence. Tout cela produit un « cocktail toxique » dans l'environnement sanitaire mondial.
Vu les résultats des indicateurs de santé à l'échelle nationale et mondiale, l'OMS peine à convaincre ses donateurs ce qui augmente ses problèmes de financement. Le programme d'infodémie promu dans son Pandemic Treaty est un projet de censure mondiale et un prélude à l'institution de la Police Sanitaire Mondiale comme annoncée par Jacques Attali (Dictionnaire du XXIe Siècle, 1998) en attendant l'avènement de son Gouvernement Mondial.
Je profite de ce sursis avant l'entrée en vigueur de la censure du « The Pandemic Treaty » de l'OMS. Il reste encore dans ce pays, que nous adorons malgré ses faiblesses, une lueur d'espoir et de liberté d'expression. Permettez-moi de conclure avec cette citation du philosophe Marshall McLuhan : « Seuls les petits secrets ont besoin d'être protégés ; les plus gros sont gardés par l'incrédulité publique. »


* Pharmacien-clinicien, pharmacoéconomiste, chercheur en gouvernance et ancien consultant de l'OMS.


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