Lundi, le tunisien Tarek Bouchamaoui a été désigné à la tête de la commission d'arbitrage de la Confédération Africaine de Football succédant ainsi au malien Amadou Diakité. L'espérance de Tunis, le Club Africain, la JS Kabylie, le Wydad de Casablanca,... au fait les clubs du Maghreb Arabe peuvent pousser un grand Ouf de soulagement. En effet, toujours au coeur d'une polémique, l'arbitrage africain n'a jamais été à la hauteur. Les clubs arabes étaient toujours victimes des prestations catastrophiques ou disant cauchemardesques des arbitres. En finale aller de la Ligue des Champions d'Afrique édition 2010, l'homme en noir, le togolais Koko, a été l'origine d'une lourde défaite 5-0 des "Snag et Or", à Lubumbashi, contre le TP Mazembé. Les Wydadis ont vécu le même sort de leurs voisins espérantistes. Vainqueur 1-0 en match aller des 8ès de finale de la Champions League africaine (2011), à Casa, le Wydad a subi une défaite injuste 2-0 qui a permis au club congolais d'accéder à la phase des poules. Mais, le tenant du titre a été ensuite disqualifié par la CAF suite à l'affaire Banana. Lors du match Messiles (Gabon) - JS Kabylie, l'arbitre congolais Moukoko a massacré les algériens en expulsant trois joueurs et en accordant deux penaltys, . Le match s'est terminé sur le score 3-0 pour Messiles. Mais heureusle premier était imaginaireement, les algériens ont pu se qualifier au tour suivant grâce aux tirs au but. La rencontre des 8ès de finale aller de la Ligue des Champions 2011 Hilal Soudanais - Club Africain n'a pas échappé à la règle. Un arbitrage catastrophique de la part du mauricien Rajindraparsad Seechurn a permis au club local d'emporter le match 1-0. Plusieurs cas pourraient être cités. Mais, ces quatre cas demeurent suffisants. Espéraons que Tarek Bouchamoui soit à la hauteur et rende à César ce qui est à César.