A l'heure où les raisons d'espérer diminuent, il restera toujours une arme à l'honnête homme : dire ce qu'il pense. Un droit selon les naïfs, en réalité un devoir s'il s'agit de questions touchant à la survie d'un peuple. Rappelons ici qu'un peuple n'est pas un conglomérat occupant un territoire donné, mais, en Europe, une communauté de race blanche ayant une âme, une tradition, une culture et une aspiration à une vie plus haute et plus belle. La société multiraciale imposée par le pouvoir n'est pas, ne sera jamais un peuple. Aussi les lois de type Gayssot, dites antiracistes, servent-elles à traquer une libre parole dangereuse pour les organisateurs-bénéficiaires de la décadence européenne et de l'industrie de l'Holocauste. Une décadence caractérisée par le métissage qui détruit la race elle-même et par l'inversion des valeurs indispensables à une société saine (culte du bien-être au lieu de sens du devoir, de l'honneur, de l'œuvre). La mauvaise conscience a peur de la libre parole. Une peur d'autant plus forte que se multiplient les signes avant-coureurs d'une catastrophe. On voit s'instaurer une lutte entre parasites sociaux, dont les «niches» se raréfient. En effet, les classes moyennes, principales payeuses d'impôts, sont laminées par ce qu'il faut bien appeler la crise économique. Bon gré, mal gré, les gouvernements restreindront les subsides et, du même coup, les postes parasitaires. Ainsi, en Suisse les commissions antiracistes et anti-extrémistes de droite, la police politique, les associations pro-immigrés, les assistants sociaux qui, sans les drogués et autres épaves, deviendraient inutiles, toute cette faune se retrouverait devant des mangeoires vides. D'autres part, la victoire «alliée» de 1945, qui «devait garantir la paix dans un paradis démocratique», a débouché sur des guerres toujours plus nombreuses et sanglantes (celle de Corée a coûté la vie à un Coréen sur cinq). Le «nouvel ordre mondial» prend des allures de chaos. Les Etats-Unis, qui prétendent régir le monde, donnent dans une curieuse incohérence. Depuis son «triomphe» en Irak,elle ne fait que trébucher : un pas à gauche, à droite, en avant, deux pas en arrière. C'était bien la peine de surmonter l'alcoolisme pour en garder la démarche!… Le simple bon sens enseignait que l'Amérique ne contrôlerait jamais la planète (trop lourde avec ses 7 milliards d'humains). Toutefois, le Jupiter, Yankee, un doigt sur le bouton rouge atomique, a d'excellents moyens de renforcer le chaos mondial. En réprimant la libre parole, les maîtres de l'heure veulent empêcher les critiques de dévoiler aux peuples européens la trahison de gouvernants qui ouvrent les vannes de l'invasion allogène et qui les obligent à croire à un «holocauste» si profitable au congrès juif mondial. Tout un dispositif de lois et de polices impose la pensée unique sous prétexte de lutter contre le mal absolu : le racisme, le terrorisme et de protéger les «vraies valeurs» : droits de l'homme, dignité humaine, liberté… Un homme engagé dans un combat n'a généralement pas le temps d'établir les vérités utiles à ses décisions. Sous la contrainte, il agit selon des probabilités, à la manière du joueur d'échecs qui, cherchant à deviner les intentions adverses, examine les coups probables et plausibles. Ainsi, l'incohérence américaine en Irak porte à penser que les lobbies bellicistes du nouveau monde divergent sur la suite des opérations. Peut-être le lobby pétrolier veut-il exploiter les ressources irakiennes avant toute autre entreprise militaire (contre l'Iran, la Syrie?). Et soudain l'armée US se voit acculée à défendre un pipe-line et à servir de cible aux attentats. Autre exemple : au moment où la dernière mouture de résolution proposée par Washington au Conseil de sécurité de l'ONU rencontrait la résistance de Paris, de Berlin et de Moscou, on a noté des contacts diplomatiques chinois auprès de ces trois gouvernements. Puis, coup de baguette magique, le texte américain est adopté à l'unanimité, Syrie comprise! Imaginons les propos tenus : «Laissez donc les Etats-Unis voler le pétrole pendant une année et s'embourber dans un Irak-nouveau-Vietnam! En outre…» Et l'on peut rêver ce qui peut avoir suivi cet «en outre»… Dans les périodes confuses où l'on ignore souvent quelles forces s'affrontent, le politicien se heurte à des difficultés supplémentaires. Il doit considérer non seulement ce qu'il sait, mais surtout ce qu'il ne sait pas. Il recourra au tâtonnement méthodique et se tiendra à l'affût des occasions favorables. Il ne jouera jamais à coup sûr. La parole d'homme à homme, en revanche, ne manquera pas son but : lancer une idée, qui cheminera, invisible à la police de la pensée, et qui rencontrera peut-être son réalisateur. Une arme à utiliser systématiquement, surtout si la répression bloque les autres moyens. Le samizdat joue un rôle semblable, mais la parole, vivante, progressera mieux. Ainsi ont mûri les grandes révolutions. Ainsi mûrira la Révolution européenne, évoquée par Mario Consoli dans «l'Uomo libero» n°56 (cf. notre page 3). La révolution européenne, œuvre des forces saines de nos peuples, assurera la survie et l'ascension.