Contrairement à ce qu'avance Mme Olfa Belhassine dans son article paru dans La Presse du 17 septembre 2011, je ne suis pas le représentant du promoteur Ben Kamla qui a ses propres dirigeants sociaux pour exprimer son point de vue quant au lotissement de la Maâlga. Ce n'est qu'en qualité de membre du comité de défense des propriétaires dudit lotissement que j'ai accepté de répondre aux questions de La Presse pour dénoncer les conséquences financières désastreuses de l'inaction des pouvoirs publics sur les droits d'une centaine de propriétaires ayant acquis de bonne foi et en toute légalité leurs lots de terrain. Je ne suis donc, pour répondre au trait d'esprit de Mme Belhassine, ni juge ni partie mais simplement un citoyen tunisien qui souhaite que l'Etat assume ses responsabilités passées et présentes. Maître Sami Mahbouli Ndlr : D'un simple coup de téléphone à la secrétaire du promoteur immobilier Ben Kemla, Maître Mahbouli pourrait vérifier la véracité de nos propos. Son directeur, impossible à joindre malgré notre insistance, la dame nous a bien conseillé, probablement après l'avoir consulté, de nous adresser à Maître Mahbouli, «le représentant de M. Ben Kemla», a-t-elle assuré.