Tunis-Le Temps- Dans cette affaire, dont les péripéties remontent au 5 décembre de l'année dernière jour où une maison à Sousse, a été cambriolée par des jeunes dont l'accusé qui a été impliqué dans ce vol qualifié. Le maître de céans déclara en effet dans sa plainte à la police, qu'il constata en rentrant chez lui, que la porte d'entrée de son domicile a été fracturée et que plusieurs objets de valeur avaient disparu. Le cambrioleur avait dérobé les bijoux, ainsi que la somme de 3000 mille dinars et une somme d'argent en devise étrangère, appartenant à la maîtresse des lieux. Le jeune homme fut soupçonné, suite à la déclaration de certains témoins affirmant l'avoir vu rôder dans les parages le jour des faits. Ce fut la raison pour laquelle il fut inculpé, avec trois autres personnes, de vol qualifié et condamné en première instance à une peine de prison. Il interjeta appel et comparut dernièrement devant la cour, pour clamer son innocence et déclarer qu'il ne s'était pas rendu sur les lieux et n'avait jamais pris part à ce cambriolage. Son avocat affirma que l'accusation à l'égard de son client n'est pas corroborée par des preuves tangibles. Les témoignages sur lesquels l'accusation était fondée,ne sont nullement probants. Il sollicita pour toutes ces raisons l'infirmation du premier jugement et l'acquittement de son client. La cour suivit la thèse de la défense concernant le cas du jeune, en prononçant son acquittement. Toutefois, concernant les autres personnes impliquées dans cette même affaire le premier jugement les condamnant à des peines de prion a été confirmé par la cour.