Quantité et qualité sont les fondements du commerce et de la concurrence. Et pourtant, ce sont deux facteurs assez négligés par nos chers producteurs qui s'émeuvent après qu'on aille acheter de l'importé ou du parallèle. Exemple, les œufs. Les paquets tous prêts nous réservent des surprises. Parfois, c'est le quart du paquet qui est rempli d'œufs miniatures assez proches des œufs de pigeons ( je ne parle pas des clients mais des oiseaux). On peut penser que des poules maigres et chétives se mêlent aux grandes pondeuses mais pourquoi, alors, ces petits œufs sont « cachés » au milieu des paquets ? La bonne foi et la coïncidence ne font pas bon ménage ! Autre produit en perte de qualité... le café. Il y a café et café. Il y a celui, en paquets qui parfois ressemble à de l'eau colorée ( après préparation) et l'autre, noir et amer, et qui nécessite, une demi-douzaine de morceaux de sucre pour qu'on puisse le boire. On pourra toujours dire que le sucre est moins «sucré» mais pour les vrais amateurs de vrai café, la tasse est dure à boire. What else ?