Un brave citoyen à l'origine de l'arrestation de malfaiteurs Grâce au nationalisme des habitants d'une ville frontalière, les agents de la garde nationale de Fériana sont arrivés à arrêter une bande de quatre malfaiteurs appartenant à un réseau de trafic de voitures volées. Le rôle de ces quatre individus était d'acheminer la voiture en leur possession vers l'Algérie à travers des pistes appelées Ouled Marzouk près de Majel Belabbes. En passant à proximité d'une station de ravitaillement d'essence, un citoyen a remarqué la présence d'une luxueuse voiture garée, il s'est approché pour l'admirer mais a été surpris de constater des traces de sang et une arme blanche au niveau de la banquette arrière. Ceci a attiré son attention d'autant plus qu'il est rare qu'une pareille voiture puisse passer par cette petite ville. Pendant ce temps, les quatre individus étaient attablés dans un café situé en face de la station d'essence. Ayant voulu éviter la curiosité de ce Monsieur, ils se sont précipités vers la voiture pour déguerpir au plus vite, seulement ce dernier en brave citoyen les en a empêché. Il a commencé à crier appelant du secours. Des passants ont accouru. En voyant les gens arriver en leur direction ils ont laissé la voiture et ont couru en traversant les rues et impasses mais n'ont pu aller trop loin. Trois d'entre eux ont été attrapés et tabassés afin d'être maîtrisés tandis que le quatrième s'est réfugié dans une des maisons. Il était armé d'un grand couteau menaçant tous ceux qui osent l'approcher de les tuer. Pendant ce temps les femmes de la maison n'arrêtaient pas de crier. Un jeune homme spécialiste de jet de pierres, s'est approché de la maison, a visé le bandit planté sur la terrasse et a lancé en sa direction une grosse de pierre. Il a été atteint en pleine tête. Ce dernier a chuté à terre complètement évanoui. Ils l'ont vite cerné et attrapé. Les forces de la garde nationale sont arrivées sur les lieux pour arrêter les quatre individus. Il s'est avéré qu'il s'agit de membres recherchés depuis longtemps pour leur appartenance au réseau sus cité. Ils sont impliqués dans des affaires de vols de voitures, braquages avec menaces, tentative de meurtre et utilisation d'un fusil de chasse pour menacer les gens et bien entendu appartenance au réseau de trafic de voitures volées. Ils ont été acheminés au quartier général de la police criminelle de Tunis pour les besoins de l'enquête et l'obtention d'informations afin d'arrêter tous les autres membres du réseau recherchés. A.A
Les raisons d'un suicide Les habitants de la localité de Rafraf ont découvert en pleine forêt le cadavre d'un jeune homme pendu à un arbre. Ils ont vite alerté les autorités qui se sont déplacées sur les lieux pour le constat d'usage. Un représentant du tribunal de 1ère instance de Bizerte était présent. Les premières données laissaient croire qu'il s'agit d'un suicide. Les enquêteurs ont découvert près du cadavre une lettre écrite par le défunt avant sa mort. D'après les premiers éléments de l'enquête, il s'agit d'un jeune homme prénommé Sofiène , âgé de trente ans habitant la ville de « Sounine » gouvernorat de Bizerte. Il s'est suicidé après avoir subi un stress continu depuis une assez longue période. Mais ce stress était dû à quoi ? C'est ce que les enquêteurs ont essayé de découvrir. Sofiène était atteint depuis une dizaine d'années de troubles émotionnels. Son médecin traitant lui a prescrit des calmants qu'il devait prendre quotidiennement. Certains individus mal intentionnés, certainement consommateurs de produits stupéfiants, ont profité de l'état mental de Sofiène pour lui subtiliser par la force ses médicaments. Il s'est plaint auprès de ses parents de cette situation mais apparemment ces derniers n'ont pas donné l'importance nécessaire à cette situation d'où l'empêchement de Sofiène de poursuivre son traitement. Dans la lettre que le défunt a laissée il a mentionné le nom de celui qui lui prenait par la force ses médicaments. Ainsi les agents de la garde nationale ont commencé à établir les recherches pour arrêter ce coupable ayant poussé Sofiène au suicide. A.A
Agression mortelle Fin Juin 2012 vers 22h en plein centre ville, un jeune homme marchait tranquillement au quartier « le passage » lorsque trois bandits lui ont bloqué le chemin. Après l'avoir sermonné et insulté, ils lui demandèrent de leur remettre son téléphone portable et de l'argent qu'il avait.. Ils pensaient pouvoir agir à leur aise d'autant plus qu'ils étaient trois et il était seul, mais ils ont fait un mauvais calcul car le jeune homme ne pouvait admettre une telle situation. Il ne s'est pas laissé faire et leur a opposé une résistance farouche. Il les a combattu mais il n'a pas pu tenir longtemps. Ils l'ont mis à terre et l'ont agressé sauvagement, coups de poings , coups de pieds, agressé dans plusieurs parties de son corps, il a fléchi et perdu dans un premier temps connaissance puis quelques instants plus tard il a rendu l'âme. Les trois assassins ont profité de son etat pour lui piquer son portable et son argent. Les agents de police ont été alertés. Ils se sont rendus sur les lieux pour constater le décès. Le cadavre a été transporté à la morgue pour autopsie. Il a fallu aux enquêteurs plusieurs semaines d'investigations pour arrêter les trois individus. Actuellement ils sont incarcérés et interrogés sur leur implication. Dès la fin de l'enquête ils seront traduits devant le tribunal pour répondre de leur forfait et recevoir le châtiment qu'ils méritent. A.A
Il a fait confiance à son ami Un jeune homme travaillant dans une société privée a été appelé pour les besoins de ses services à se déplacer dans une ville à l'intérieur du pays. Il a demandé à un de ses amis de séjourner chez lui pendant son absence afin d'éviter un éventuel cambriolage de son domicile. Il lui a remis les clés et l'a remercié pour service rendu. Mais l'ami en question n'a pas du tout été à la hauteur. Dès le départ du propriétaire, il a ouvert la maison à ses amis pour l'organisation de soirées chaudes. Chaque soir le vin coulait à flot et surtout la présence de prostituées. Un tapage nocturne sans égal qui a gêné les voisins .Ils ont déposé plainte auprès du commissariat de police. L'enquête a été confiée à la Direction régionale de la police des mœurs. Le soir des faits des agents ont surveillé la maison. Ils ont constaté la présence de filles et de garçons dans la maison. Une descente a été effectuée et permis l'arrestation de couples en flagrant délit d'ébauches. Ils ont été conduits au poste. Le propriétaire de la maison appelé d'urgence a donné sa version déclarant avoir fait confiance à son ami. Ce dernier a été incarcéré avec le reste du groupe filles et garçons en attendant la fin de l'enquête pour les traduire devant le tribunal. A.A
Arrestation d'une bande d'émetteurs de faux billets Les agents de la police judiciaire de l'Ariana ont reçu des informations selon lesquelles un citoyen d'origine Africaine se préparait à arnaquer un citoyen Tunisien en lui proposant l'échange de fausses monnaies étrangères contre des dinars. Ainsi et pendant que la police commençait à tendre un piège au trafiquant de fausses monnaies, le jeune homme Tunisien a été arrêté au même endroit dans sa voiture en compagnie de deux individus Africains. Ces derniers ont été fouillés. L'un d'eux avait sur lui la somme de 18000 Dollars en coupures de cent. C'était de faux billets. Entre temps le citoyen que la police attendait est arrivé sur les lieux. Il a été arrêté. Il a déclaré qu'il s'apprêtait à remettre l'argent au Tunisien contre une petite commission. Ce dernier a déclaré qu'il allait tomber dans un piège si ce n'est l'intervention des forces de l'ordre. Il a déclaré avoir reçu la première fois de l'un d'eux un billet de cinquante dollars. Il est allé à la banque et a noté qu'il s'agit d'un vrai billet. Ainsi il a fait confiance à ces malfaiteurs. L'un des Africains arrêtés avait chez lui, un ordinateur haute gamme, un scanner, de l'encre spéciale et du papier fort. Tout le matériel a été saisi. L'enquête suit son cours. Les trois africains et le Tunisien ont été incarcérés en attendant leur traduction devant le tribunal. A.A
Du toit de la maison il épiait les filles Vers deux heures du matin toute la famille sombrait dans un sommeil profond quand le père s'est réveillé en entendant un bruit anormal autour de son domicile. Il a réveillé ses filles. Ces dernières ont remarqué sur le toit un de leurs voisins, en tenue assez légère. Ce dernier dans un état d'ébriété manifeste a consommé durant l'après midi huit bouteilles de vin ce qui l'a mis dans un état d'excitation suprême. Il a ainsi escaladé la muraille en s'agrippant à une fenêtre et s'est mis sur le toit de la chambre où dormaient les filles dans le but de surprendre l'une d'elles et d'assouvir ses instincts bestiaux. Les filles ont entamé avec lui une discussion dans le but de le retenir tandis que l'une d'elles s'est rendue en courant au poste de police le plus proche pour informer les agents de police de ce qui se passe. Sans perdre de temps une patrouille de la brigade d'intervention s'est rendue sur les lieux. Ils ont réussi à arrêter le jeune homme. Conduit au poste de police, il a reconnu les faits et a déclaré avoir agi sous l'effet de l'alcool et a présenté des excuses. Il a été traduit en état d'arrestation devant la chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Tunis. Après les interrogatoires, il a été condamné à une peine de six mois de prison ferme.