Une affaire de viol sur handicapée mentale a été traitée par la chambre criminelle du tribunal de Grombalia. Au mois d'Avril 2012, la jeune dame qui travaillait dans un champ appartenant à un grand agriculteur de la région est allée déposer une plainte contre son employeur. Elle a déclaré qu'il l'avait violée à plusieurs reprises. Elle a déclaré qu'il a profité de son état mental pour la convaincre de l'accompagner dans un coin isolé et profitant des lieux déserts, il l'a obligée à obéir à ses ordres et de se laisser faire. Elle l'a supplié de la laisser tranquille sans résultat. Cela s'est produit à trois reprises a-t-elle déclaré. Elle a déclaré qu'au cours de la quatrième fois, il a invité un de ses amis. Ils ont à deux embarqué la fille à bord d'une voiture et l'ont emmené dans un endroit isolé et ont tour à tour profité d'elle. Le résultat c'est qu'après quelques mois la fille s'est rendue- compte de son état de grossesse. Elle a mis au monde un bébé de sexe masculin. Devant l'obligation d'inscrire le bébé elle a été contrainte de déposer la plainte afin de démontrer la paternité de son enfant. Elle a également demandé à poursuivre pénalement son employeur. Appelé à s'expliquer, le Monsieur a nié complètement l'accusation déclarant qu'il s'agit d'une calomnie et qu'il est prêt à subir tous les tests ADN pour déterminer le lien avec le bébé et prouver son innocence. Il a déclaré qu'il a embauché la fille pour lui venir en aide car elle est handicapée mentale. Le deuxième inculpé a fait les mêmes déclarations déclarant qu'il est innocent de cette accusation. Il a déclaré que c'est le fruit de l'imagination de la plaignante. Ils ont donc comparu devant le juge. Ils ont réitéré leurs déclarations données auparavant. Leurs avocats ont demandé une expertise approfondie sur l'état mental de la plaignante et également de pousser les investigations afin de connaitre le vrai coupable. Le juge a donc décidé de faire examiner de nouveau la plaignante.