La maire de Tunis Souad Abderrahim, a affirmé que l'obligation pour les commerçants d'écrire les enseignes en arabe ne signifiait pas l'abolition des langues étrangères, assurant que certains mots pourraient être traduits Selon elle, cette décision obligatoire a été prise sur la base de la Constitution tunisienne, précisant que les sanctions qui seront imposées aux réfractaires seront prises ultérieurement. Souad Abderrahim a indiqué que c'est le conseiller municipal Ahmed Bouazzi pour le Courant Démocratique qui est l'auteur de la proposition qui a été approuvée par unanimité des blocs municipaux après discussion.