Je voulais intervenir dans la "polémique" sur le travail des retraités étrangers en Tunisie, car il me semble que la journaliste auteur des articles suivants: Services : L'inspiration et la transpiration ! et L'expérience des retraités : Une mine d'or ! confond pas mal de choses: Il ne s'agit pas de frilosité ou de refus de l'ouverture mais plutôt de concurrence déloyale du fait que nos institutions (conseil de la concurrence par exemple) n'exercent pas les contrôles définis dans le cadre de leur mission. En effet, en Tunisie, ces associations de retraités: - ne payent aucun impôt et charges sociales ; - agissent pour le compte d'entreprises commerciales dans des secteurs d'activité commerciales ; - concurrencent directement des sociétés de services et d'études tunisiennes, ce qui est complètement anormal. A titre de comparaison, en France par exemple, ces activités seraient automatiquement considérées à but lucratif et seraient donc soumises aux impôt et au charges sociales: Voir le lien suivant: www.uruffe.fr Dans les articles, sur le site Webmanagercenter.com, ce travail des retraités est présenté comme une idée économique "géniale" à laquelle bien sûr nous n'avons pas pensé, en bon sous-développés que nous sommes, et vers laquelle, toujours en bon sous-développés, nous refusons toute ouverture.