Le président provisoire de la République, Moncef Marzouki, en sa qualité de Chef d'Etat et Chef de la diplomatie tunisienne, devait s'attacher à la légitimité internationale et la non-ingérence dans les affaires intérieures des autres pays. C'est ce qu'a déclaré le fondateur du parti « Le décollage vers l'avenir », Taher Hmila. Intervenant mardi 11 juin 2013 sur Shems FM, Taher Hmila a indiqué que le désaccord qui a eu lieu avec le président provisoire de la République était à cause de sa position de la situation en Syrie.