A l'occasion des fêtes de l'indépendance (20 mars), le président de la République, Béji Caïd Essebsi pourrait initier une opération de réconciliation nationale qui pourrait prendre la forme d'une loi d'amnistie. C'est ce que rapporte la revue Jeune Afrique. D'anciens dirigeants, des cadres de l'administration et des entreprises publiques font l'objet de poursuites judiciaires, indique-t-on. Depuis 2011, seuls huit cents dossiers sur douze mille ont été instruits et aucun verdict définitif n'a été prononcé. Ceci ne pourrait favoriser, assure-t-on, les prises de décision ni les investissements. Aussi, le chef de l'Etat envisagerait d'engager une grande opération de réconciliation nationale. Cette loi d'amnistie pourrait s'étendre à la période de Ben Ali et à celle de la Troïka (2012-2014) Un comité composé d'experts et de personnalités de différents horizons pourrait s'atteler à en définir le cadre avant que le texte soit soumis à l'ARP. Citant une source gouvernementale, Jeune Afrique précise que cette loi ne concernerait pas les crimes de sang et les actes de corruption avérés. Rached Ghannouchi aurait accordé son aval à une telle initiative. Investir en Tunisie
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