A clear plastic bottle is found drifting in the garbage patch. Living on this single bottle were bryozoans, nudibranchs, crabs, and barnacles. The crew of the Greenpeace ship MY Arctic Sunrise voyage into the Great Pacific Garbage Patch document plastics and other marine debris. The Great Pacific Garbage Patch is a soupy mix of plastics and microplastics, now twice the size of Texas, in the middle of the North Pacific Ocean. Le directeur général de la Direction de l'hygiène du milieu et de la protection de l'environnement (DHMPE) au ministère de la Santé, Samir Ouerghemmi, a mis en garde contre les risques sanitaires liés à la pollution bactériologique des eaux de baignade, lors d'une déclaration à Express FM, le 26 juin 2025. Les germes fécaux, issus des eaux usées et des rejets d'égouts, constituent la principale menace pour les baigneurs. Ouerghemmi a souligné que la présence de germes pathogènes, notamment d'origine fécale, peut entraîner des affections cutanées, des maladies respiratoires, ainsi que des infections ORL . « Si une zone est contaminée, les baigneurs s'exposent à des allergies, des irritations ou des infections », a-t-il expliqué. Ces bactéries proviennent principalement des eaux usées domestiques et des réseaux d'assainissement mal contrôlés. Le directeur a rappelé que la mer possède une capacité naturelle d'auto-nettoyage, grâce aux marées, aux courants et au renouvellement de l'eau. Cependant, cette régénération ne suffit pas toujours à éliminer rapidement les contaminants. « Une zone polluée un jour peut devenir propre le lendemain, et inversement », a-t-il précisé, insistant sur l'importance d'une surveillance renforcée. Actuellement, la DHMPE effectue des prélèvements deux fois par mois en été et une fois par mois en hiver sur l'ensemble du littoral. Mais cette fréquence reste-t-elle adaptée face à la variabilité de la pollution ? M. Ouerghemmi n'a pas écarté l'idée d'un renforcement des mesures.