Retour à la case départ au CSS, concernant les candidatures pour les postes de président et de vice-président du club. Celles de Lotfi Abdennadher et de son adjoint, Thameur Fendri, n'ont pas été entérinées par la commission législative pour absence de documents justifiant la conformité desdites candidatures aux conditions que stipule l'article 21 des statuts du club. De ce fait, l'assemblée générale élective, qui devait avoir lieu le 25 du mois courant, sera reportée pour au moins une période d'un mois, en vue d'ouvrir de nouveau les candidatures pour les deux postes susnommés. C'est donc de nouveau l'imbroglio concernant la succession de Moncef Sellami, annoncée depuis plus de deux mois. C'est aussi l'absence de pouvoir de décision concernant le recrutement d'un nouvel entraîneur, où Nabil Kouki s'évertue d'accomplir sa mission à la tête de l'équipe, tout en sachant que son bail ne saurait continuer. Les répercussions sur la vie quotidienne du club, inhérente à l'absence d'un bureau directeur jouissant de pleins pouvoirs de décision, ne sont pas à dénombrer, tant du côté de la préparation pour la reprise que de celui de la gestion quotidienne du club. Moncef Sellami et certains membres de la liste que présidait Abdennadher avaient cru bon d'effectuer mardi en fin d'après-midi, une visite aux joueurs dans leur lieu de retraite à Ezzahra pour écouter leurs doléances, et leur faire part de l'engagement de l'équipe dirigeante d'assurer toutes les conditions requises pour un excellent parcours au cours de la prochaine saison. Mais tout est maintenant tombé à l'eau, suite à la décision de la commission législative. Le CSS n'est pas sorti de l'auberge !